@Ern-Dorr non, non, et merci de t’y intéresser, je bricole un peu chez moi, je fais un peu moins de 3D mais c’est que provisoire, je posterais un truc à Noël.
Apple User
Ils pensent différemment… mais surtout plus cher. Ils traversent le forum avec élégance, laissant derrière eux une traînée de design épuré et de câbles propriétaires. Convaincus que l’univers est mieux en Retina Display.
Messages
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Cela fait longtemps que l’on ne voit plus arriver tes oeuvres, as tu abandonné ?
Ce serait dommage !
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@Violence a dit dans Il est désormais possible de localiser les comptes sur X: le réseau social s’embrase :
ça à permis d’identifier plein de faux comptes russes en Afrique
Mais pas que, j’ai appris cela sur X par un post concernant une série de comptes israéliens, mais basés en Turquie et au Quatar.
Même si X a des airs de vaste poubelle, ça reste un bon baromètre du bordel ambiant.

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Tout à l’heure j’entendais à la radio un mec dire que l’IA est la technologie qui fût la plus rapidement adoptée dans l’histoire de l’humanité, ouvert au grand public il y a 3 ans, elle s’est immiscée dans la vie des gens plus rapidement que l’informatique, la mécanique, l’électronique, etc.
Je trouve le constat accablant quand on voit que l’IA reconte beaucoup de connerie puisque ses réponses sont statistiques, mais ça plait, ça convient, au point que les gens l’utilisent pour le quotidien, pour se confier, pour satisfaire ses désirs.
Se contenter de réponses mécaniques, statistiques et potentiellement fausses ou inventées de toutes pièces, quelle tristesse ! -
Aux États-Unis, les tribunaux voient de plus en plus de couples se présenter pour divorcer après que l’un des partenaires a eu une relation avec une IA. Mais ils ne sont pas encore prêts à y faire face.
Il n’y a pas que les célibataires qui ont des relations avec des IA. Certains sont prêts à faire voler leur mariage en éclats pour vivre leur amour avec des robots conversationnels. Comme le rapporte le magazine Wired, des couples commencent à divorcer à cause de ces relations extraconjugales et les tribunaux en voient de plus en plus aux États-Unis.
En couple depuis 13 ans, Eva, une écrivaine américaine de 46 ans s’est séparé de son partenaire. Une décision prise d’un commun accord, les deux ayant l’impression qu’elle le trompait avec des compagnons IA. Après être tombée amoureuse d’un premier chatbot, sur l’application Replika, elle s’est tournée vers la plateforme Nomi pour trouver 'l’exploration sexuelle complète" qu’elle cherchait. Mais elle a fini par éprouver des sentiments pour plusieurs des personnages virtuels de cette application.
Des États pas encore prêts
Eva est loin d’être la seule. En juin, une femme de 36 ans a aussi décidé de mettre fin à près de 14 ans de mariage après avoir découvert que son mari, âgé de 49 ans, avait une liaison avec une “petite Latino sexy”. Elle provenait d’une application proposant des compagnons IA NSFW (“not safe for work”, littéralement dont les contenus sont inappropriés au travail). Certains de ces robots conversationnels sont conçus pour imiter des filles mineures.
“En trois mois, il a dépensé des milliers de dollars entre l’application et une carte OnePay dont je ne savais absolument rien”, a-t-elle relaté sur Reddit.
Mais si de plus en plus de tribunaux voient des couples divorcer à cause d’une IA, la plupart ne sont pas préparés à faire face à l’après… En septembre, le représentant de l’Ohio, Thaddeus Clagett a présenté une proposition de loi pour rendre illégal le mariage entre humains et IA. Elle interdirait également de donner une identité individuelle à ces systèmes, les définissant comme “non conscients”, comme l’a rappelé Rebecca Palmer, avocate spécialisée dans le divorce, auprès de Wired.
Une de ses affaires actuelles inclut d’ailleurs des dépenses et le partage d’informations privées (comptes bancaires, numéros de sécurité sociale…) avec un chatbot qui “consumait la vie du conjoint et affectait ses performances professionnelles”, a-t-elle révélé.
Qualification des IA
Elle estime que des lois qualifiant les IA de “tierce partie” et non de personne vont rapidement arriver dans des États progressistes comme la Californie. Selon elle, les tribunaux pourraient reconnaître que ces outils sont la “raison” d’un divorce, mais sans les identifier légalement comme des personnes.
Dans l’État de Californie, ils ne cherchent d’ailleurs pas à connaître les raisons de l’échec d’un mariage. “Ils ont seulement besoin qu’ils [les mariés] cochent la case ‘différends irréconciliables’. Qu’il s’agisse d’infidélité avec un robot ou un humain, cela ne change rien”, a expliqué Elizabeth Yang, avocate spécialisée en droit de la famille.
D’autres États, tels que le Michigan ou le Wisconsin, sont en revanche beaucoup plus sévères, punissant l’adultère de peines pouvant aller jusqu’à cinq ans de prison et 10.000 dollars d’amende.
Vers une hausse des divorces à cause de l’IA
Alors qu’il est déjà difficile de gérer les liaisons extraconjugales entre humains pour les juges, cela le sera encore plus à l’heure où les individus sont de plus en plus nombreux à avoir des relations avec des IA. Se posera par exemple la question de la garde des enfants.
“Il est concevable, voire probable qu’ils remettent en question le jugement des parents car ils ont des échanges intimes avec un chatbot, ce qui soulève des interrogations quant au temps qu’ils passent avec leur enfant”, a souligné Rebecca Palmer.
Elizabeth Yang pense, elle, que ce n’est que le début. Selon elle, les divorces vont augmenter dans les prochaines années, au fur et à mesure que certains se tourneront vers l’IA pour avoir de la compagnie. C’est d’ailleurs déjà le cas au Royaume-Uni, où la plateforme Divorce-Online a révélé en mai avoir reçu un nombre croissant de demandes de divorce dans lesquelles les clients invoquaient leur “attachement émotionnel ou romantique” à des compagnons IA, indiquant que ce rapprochement avait contribué à leur décision de mettre fin à leur mariage.
Source : msn.com
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@Violence Passionnant ton article, merci pour ce partage.
Après lecture on se demande comment, hormis les criminels de tout poil, on peut encore utiliser Telegram !
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Les propos récents de Microsoft sur l’évolution de Windows vers un système « agentique » provoquent de virulentes réactions. Pour de nombreux observateurs, cette marche forcée vers l’IA illustre un décalage croissant entre les besoins des utilisateurs et la direction que veut donner l’entreprise à son produit.
Comme nous l’indiquions dans notre article du 18 novembre, c’est un message du responsable de la division Windows, Pavan Davuluri, qui a enflammé la toile : « Windows évolue vers un système d’exploitation agentique, connectant appareils, cloud et IA pour une productivité accrue et un travail sécurisé où que vous soyez ». Sous son message, des centaines de commentaires négatifs, voire acerbes, au point que Davuluri bloquera les réponses.
Ce que veut Microsoft
La société de Redmond rêve d’un monde où les agents s’occupent de tout, discutent entre eux, apprennent le contexte des utilisateurs et leur viennent en aide sur à peu près tout et n’importe quoi. Un monde dans lequel il suffit de prononcer quelques phrases à haute voix pour que les requêtes soient interprétées et dument exécutées.
Pour parvenir à cette vision, Windows doit devenir un hub pour les agents. Une infrastructure spécifique, que Microsoft a plus ou moins déjà détaillée : une session Windows à part, avec des contrôles présentés comme stricts, des agents appliquant le principe de moindre privilège, etc.

Microsoft – comme d’autres acteurs d’ailleurs – considère qu’il y a un problème à résoudre avec les agents : ils ne parlent véritablement avec les autres services et applications que si un chemin spécifique a été prévu à cet effet. L’entreprise veut donc faire de Windows une plateforme d’échanges au sein de laquelle cette capacité sera présente nativement, afin que les agents puissent interagir avec tout ce que l’utilisateur voit à l’écran. Le principe de Copilot Vision, mais généralisé au système et passant par des capacités intrinsèques, pas par l’analyse de ce que l’agent « voit » à l’écran, le tout avec un support natif de Model Context Protocol (MCP).
L’entreprise a donné des détails supplémentaires cette semaine lors de sa conférence Ignite. Elle montre dans un billet dédié comment on pourra lancer et manipuler des agents depuis la barre des tâches, demander des résumés depuis un survol de la souris dans l’Explorateur, trouver plus efficacement ce que l’on cherche avec la nouvelle recherche sémantique, ou encore profiter de nombreux connecteurs pour presque tous les scénarios. Un Windows 365 for Agents est même prévu pour que des agents puissent créer des sessions distantes complètes pour réaliser leurs tâches.

Une réalité très différente
En dépit de la volonté de Microsoft, il existe un fossé entre sa vision et ce que l’on peut faire en pratique avec les outils actuels. Exemple devenu emblématique, une vidéo publicitaire où l’on voyait un youtubeur demander à Copilot comment on pouvait agrandir le texte à l’écran. La réponse de l’assistant étant incomplète, l’utilisateur se voit obligé de répéter sa question, avant que Copilot recommande un réglage qui était déjà actif. La vidéo a rapidement été supprimée, interrogeant sur sa publication en premier lieu, mais
. Il s’agissait d’une campagne visant à passer par des influenceurs pour gagner en popularité.
Plusieurs articles de The Verge rendent compte de problèmes similaires. Le 18 novembre, nos confrères racontaient leurs propres déboires avec les fonctions IA de Microsoft : « J’ai passé une semaine avec Copilot, lui posant les mêmes questions que Microsoft dans ses publicités, et j’ai essayé d’obtenir de l’aide pour des tâches que je trouverais utiles. Encore et encore, Copilot se trompait, inventait des trucs, et me parlait comme si j’étais un enfant ».
Deux jours plus tard, Tom Warren, qui suit l’actualité Microsoft depuis longtemps, indiquait avoir eu la même expérience avec Copilot Voice et Vision : « Copilot semble incroyable quand son tour de magie fonctionne, mais quand il échoue encore et encore, on perd rapidement confiance en lui ». Il avait utilisé l’IA pour l’aider avec un stérilisateur à UV pour les bouteilles, Copilot lui répondant de le remplir d’eau, ce qui aurait grillé l’appareil.
« On pourrait pardonner ce mauvais conseil si c’était une fonctionnalité bêta cachée derrière Windows des années avant d’être largement distribuée, mais ce n’est pas le cas. Au lieu de cela, Microsoft l’utilise comme un outil marketing clé pour son système d’exploitation, en employant des publicités télévisées pour encourager les gens à parler à leurs PC », ajoute Tom Warren.
Sur Windows Central, Zac Bowden se pose la question : Windows a 40 ans, mais sera-t-il encore là dans 40 ans ?
Ce que veulent les utilisateurs
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Ce matin, une chronique quasi immobilière ! Avec ce jeu vidéo qui nous propose de parcourir des moments clés de l’Histoire de l’Allemagne, vus par la fenêtre d’un appartement de sa capitale et par les petites histoires de ses habitants successifs.
Dans cette histoire, nos guides seront Malik et sa fille Dilara. Malik a été embauché pour refaire à neuf l’appartement. Et si sa fille n’a pas du tout envie d’être dans ce vieil endroit en plein travaux, elle va changer d’avis rapidement en découvrant, derrière un vieux papier peint arraché, une mystérieuse lettre. Malik va donc raconter, au fil des découvertes de Dilara, les petites histoires des gens qui ont vécu ici, sur fond de grande Histoire.
La première de ces histoires nous emmènent par exemple en 1989, alors que la ville est encore (pour quelques mois) coupée en deux. Le locataire d’alors, Kolja, vit seul côté RDA avec son poisson rouge Erich, et voit un jour atterrir chez lui un avion en papier contenant un intrigant message. L’histoire suivante nous plonge dans une période bien plus désespérée, en 1933, avec Josef, qui s’apprête à quitter les lieux. Cette fois, il faudra explorer l’appartement et les souvenirs de Josef pour préparer sa valise… Et surtout, on le comprend bien vite, sa fuite de Berlin. Une ville qui, comme le reste du pays, lui est de plus en plus hostile.
Et ainsi de suite : successivement, le joueur est aussi invité à visiter l’appartement en 1945 ou 1967.… Aux côtés de ses habitants si différents.
Un jeu “tranches de vie”
Développé autour de l’idée jolie et poétique que les lieux s’imprègnent toujours un peu de ceux qui y ont vécu, “The Berlin Apartment” propose une expérience toute en douceur, qui nous en apprend presque plus que les livres d’Histoire. On y redécouvre que derrière les grands événements ou les tragédies, il y a toujours des gens, des récits, des quotidiens, et des petites choses éminemment précieuses : une passion pour le cinéma, un arbre de Noël dans un appartement à moitié détruit par les bombardements, une vieille machine à écrire… Voire un simple avion en papier qui vole gaiement vers l’autre côté de la rue.
“The Berlin Apartment” est une expérience simple mais touchante, avec ses petites histoires si lourdes de sens. Un jeu qui, en nous présentant un patchwork d’histoires à hauteur humaine, nous rappelle qu’un pays, c’est avant tout une somme de récits personnels, parfois unanimement partagés, parfois profondément antagonistes… Mais qu’il est toujours vital d’additionner, vaille que vaille, pour vivre ensemble.
“THE BERLIN APARTMENT” - Disponible sur PC, PlayStation 5 et Xbox SeriesMerci à Julien Baldacchino, Mathilde Romagnan, Adrien Serrière et Paul-Adrien Sicard pour le doublage des voix
Source : radiofrance.fr
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@Aurel un vrai landau, non prévu pour rentrer dans le coffre d’une voiture, qui ne nécessitait pas d’être bac +8 pour le replier.

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Aux Etats-Unis, un nouveau phénomène émerge et envahit les tribunaux: les premiers divorces liés à des affaires extraconjugales avec des IA
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Vos photos d’enfance insouciante
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