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    Après les systèmes de fichiers chez Microsoft, penchons-nous maintenant sur ce que propose Apple. Depuis plusieurs années, APFS règne en maître. Mais pendant une grande partie de l’histoire de l’entreprise, ce sont HFS et ses évolutions qui ont accompagné tous les produits, même les portables.

    Le tout premier système de fichiers chez Apple se nomme Macintosh File System et est arrivé en 1984. À la manière de la première FAT chez Microsoft, MFS était pensé pour les disquettes (de 400 ko) utilisées avec les premiers Macintosh de l’entreprise, d’où le nom. Bien que MFS fut utilisé avec certains disques durs tiers, ses limitations étaient nombreuses : taille maximale de 20 Mo pour une partition, aucune arborescence pour les dossiers, maximum de 4 094 fichiers par volume, etc.

    L’année suivante, pour accompagner le tout premier disque dur maison (Hard Disk 20), Apple lance HFS, pour Hierarchical File System. Il était en effet crucial de trouver une autre manière d’organiser les données, car les informations sur le contenu d’un volume étaient stockées dans un unique fichier. En cas de recherche, il fallait lire l’ensemble du fichier jusqu’à trouver l’information souhaitée. Ce comportement ne posait pas de problème sur des disquettes, mais est vite devenu un gros problème avec les disques durs et leurs milliers de fichiers.

    Lire notre dossier sur les systèmes de fichiers :

    | Qu’est-ce qu’un système de fichiers ? | Systèmes de fichiers : FAT12 à 32 et exFAT, conçus pour le grand public | Systèmes de fichiers : NTFS et ReFS, pensés d’abord pour l’entreprise | Systèmes de fichiers : de HFS et ses évolutions à APFS chez Apple | Systèmes de fichiers : ext4 et Btrfs, les « frères ennemis » du monde Linux HFS, le début de l’aventure

    HFS reprend certaines caractéristiques de MFS, notamment les « forks » qui permettent un stockage différencié du code source des fichiers et de leurs ressources, comme les icônes ou les données de traduction. La plupart des aspects sont cependant largement transformés.

    Un volume formaté avec HFS divise l’espace en blocs de 512 octets minimum. Les deux premiers (0 et 1) sont réservés au démarrage, le troisième (2) au Master Directory Block, qui contient de nombreuses informations sur les données présentes dans le volume, comme l’horodatage des créations de fichiers. Notez qu’une copie de ce bloc existait dans l’avant-dernier bloc du volume, pour autoriser les services à accéder à ces informations si le MDB était verrouillé pour mise à jour des informations.

    La table des fichiers est remplacée par le Catalog File, qui utilise une structure en arbre B, dont nous avons parlé dans notre article sur NTFS. Dans ce catalogue, tous les fichiers et dossiers disposent d’un identifiant unique nommé CNID (Catalogue Node ID) associés à leur nom.

    La recherche est bien plus rapide, même si HFS comporte des limites, notamment le maximum de 65 535 fichiers par le volume, inhérent aux 16 bits de l’adressage. Ce qui a rapidement posé problème avec les disques durs plus gros, puisque les volumes étaient toujours découpés en 65 535 blocs, dont la taille augmentait mécaniquement. Avec un disque de 1 Go par exemple, la taille des blocs grimpait à 16 ko, à une époque où les petits fichiers étaient très nombreux. Il était donc recommandé de découper l’espace en plusieurs volumes pour faire chuter la taille des blocs.

    Le Catalog File fait en outre chuter les performances quand le système d’exploitation permet le multitâche, un seul processus pouvant modifier le fichier à la fois, créant parfois des embouteillages. En revanche, HFS n’est plus un système de fichiers « plat » : il autorise la création de dossiers et donc la hiérarchisation des données, expliquant son nom.

    Mac OS 7.5

    HFS a évolué peu à peu avec le temps, mais il lui est resté d’importantes limitations liées à son âge, comme des fichiers ne pouvant dépasser les 2 Go, sauf avec Mac OS 7.5 qui autorisait des fichiers de 4 Go. Mais ces derniers ne pouvaient être utilisés que sur des machines avec au moins la même version du système, limitant leur compatibilité. HFS a également atteint un maximum de 2 To pour les volumes. Quant aux noms de fichiers, même s’ils pouvaient théoriquement gérer 255 caractères, ils ne pouvaient en utiliser que 31 dans la pratique.

    Les bons services de HFS vont durer un bon moment, jusqu’à l’arrivée de HFS+ en 1998. Il restera cependant géré pendant de nombreuses années, puisque son retrait effectif n’a été fait que dans macOS 10.15 (Catalina), il y a trois ans à peine.

    HFS+, une petite révolution chez Apple

    HFS+ – nommé aussi HFS Plus ou HFS Extended, ou Mac OS Étendu dans les outils de formatage sur Mac – débarque avec Mac OS 8.1. On est encore loin de la révolution (voir notre article) de Mac OS X, mais il était plus que temps de proposer une solution moderne au stockage sur les Mac. Il va être largement utilisé pendant presque 20 ans, et pas seulement sur les Mac.

    La plupart des caractéristiques du HFS premier du nom sont toujours là, comme les blocs de 512 octets, mais presque tous les aspects en sont améliorés. Le 16 bits laisse ainsi place au 32 bits pour les adresses des blocs, faisant exploser les précédentes limites : des volumes et fichiers jusqu’à 8 Eo, et plus de 4 millions de fichiers par volume. De quoi voir venir, surtout à la fin des années 90. Même traitement pour le nombre de blocs par volume, lui aussi à plus de 4 millions, mettant fin à une taille variable selon celle du volume.

    En outre, le format des noms passe à UTF-16 et Unicode, permettant cette fois d’exploiter la totalité des 255 caractères, sans restriction sur ces derniers.

    Certaines capacités de HFS+ ne vont arriver qu’avec le temps, notamment à partir de Mac OS X, dont la première version sort en 2001. L’une des plus importantes, la journalisation, est ainsi arrivée avec la mise à jour 10.2.2 fin 2002. Comme nous l’avons indiqué dans notre article sur NTFS, la journalisation est un élément important du stockage moderne, puisqu’il permet de suivre les modifications faites aux données et/ou métadonnées. C’est un facteur crucial de fiabilité du traitement de l’information, permettant de revenir à un état antérieur ou de retenter une opération ayant échoué.

    C’est surtout Mac OS X 10.3 qui va apporter nombre de nouvelles possibilités, dont une journalisation par défaut des volumes formatés. Panther introduit également un gros changement structurel. Jusqu’à présent, les volumes HFS+ étaient encapsulés dans d’autres volumes HFS, pour des raisons de compatibilité. Mac OS 10.3 apporte une nouvelle version de HFS+ nommé HFSX, dont le formatage permet de se débarrasser de cette ancienne « encapsulation ».

    Elle fournit aussi, pour la première fois, la sensibilité à la casse (les majuscules et minuscules sont prises en compte), sous forme optionnelle. Unicode 3.2 est aussi de la partie, et plusieurs mécanismes sont ajoutés pour réduire la fragmentation, qui devenait alors un sérieux problème.

    Avec Tiger (Mac OS X 10.4), HFS+ est à nouveau enrichi, cette fois dans le domaine des permissions. Jusqu’à lors, le système des fichiers reprenait celles du monde Unix. Après la mise à jour, une nouvelle sécurité est ajoutée, basée sur les listes de contrôle d’accès (ACL). En plus de ces nouvelles capacités, l’ajout permet une simplification de la compatibilité dans les partages avec l’environnement Windows, puisque le NTFS s’appuie sur les ACL pour gérer les droits d’accès.

    Par la suite, d’autres fonctions furent ajoutées, comme les liens physiques pour les dossiers dans Mac OS 10.5, la compression dans 10.6, ou encore le chiffrement des volumes dans 10.7.

    Un système de fichiers très utilisé, mais pas sans reproche

    […]

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    Newer is not always better

    Le NTFS a d’abord été pensé pour le monde professionnel et a permis de repartir d’une page blanche. Aujourd’hui, il est presque partout. ReFS est, quant à lui, arrivé beaucoup plus tard. Conçu pour les serveurs, il est maintenant utilisable sur les ordinateurs classiques, bien qu’il ait une orientation spécifique.

    Lire notre dossier sur les systèmes de fichiers :

    | Qu’est-ce qu’un système de fichiers ? | Systèmes de fichiers : FAT12 à 32 et exFAT, conçus pour le grand public | Systèmes de fichiers : NTFS et ReFS, pensés d’abord pour l’entreprise | Systèmes de fichiers : de HFS et ses évolutions à APFS chez Apple | Systèmes de fichiers : ext4 et Btrfs, les « frères ennemis » du monde Linux Le NTFS, 30 ans déjà

    NTFS est apparu en 1993 avec la première version de Windows NT, estampillée 3.1, en écho au Windows 3.1 classique déjà présent. NT signifiait « New Technology » et représentait les efforts développés par Microsoft pour proposer une base logicielle plus fiable et taillée pour le monde professionnel. NTFS signifie donc « New Technology File System ». Sa première version est ainsi apparue trois ans avant la FAT32.

    Avec NTFS, l’organisation et la gestion des données sont complètement différentes. Dans les systèmes FAT, l’organisation se faisait ainsi via des tableaux hiérarchiques, tandis que l’allocation se faisait via une liste chainée de blocs. Une vision essentiellement séquentielle de l’information.

    En NTFS, tout se fait en arbres B, une structure initialement créée chez Boeing pour faire face aux problèmes causés par la taille croissante des index de données. Depuis sa première version, NTFS se sert de tels arbres pour indexer les données au fur et à mesure. Un formatage en NTFS implique également un secteur d’amorçage (PBS), une Master File Table gardant une trace de l’intégralité des données, ainsi que des métafichiers servant à de multiples besoins, comme des informations sur le volume en cours.

    Aujourd’hui, avec une taille de bloc par défaut de 4 ko, NTFS peut formater des volumes ou partitions d’un maximum de 16 To, correspondant aussi à la limite de taille d’un fichier. Ensuite, en doublant la taille de bloc, on double ces limites. On peut même définir des tailles de 256, 512, 1 024 ou 2 048 ko. Avec des blocs de 2 Mo, la limite de volume/partition et de fichier est de 8 Po, soit 8 000 To.

    Il s’agit cependant d’une limite théorique. En effet, selon les fonctions que l’on souhaite utiliser, des volumes aussi gros ne sont pas recommandés, voire pas disponibles. Par exemple, si vous voulez continuer à vous servir de la fonction « Versions précédentes », la taille du volume ne pourra pas dépasser 64 To. Même chose pour les applications ayant besoin du service Volume Shadow Copy. De manière générale, Microsoft recommande d’adapter la taille de la partition selon la charge des usages et les performances que l’on veut obtenir.

    Fonctionnalités : loin, très loin devant la FAT32

    En matière de fonctions, le NTFS ne joue absolument pas dans la même cour que la FAT32. Leur orientation et leur conception sont très différentes, et le système de fichiers s’est largement enrichi avec les années et les versions. La plupart des fonctions que l’on connait sont apparues cependant avec Windows 2000 (NT5).

    NTFS est ainsi un système journalisé, tenant compte de tous les changements intervenant sur le disque ou le volume. Cette journalisation est préemptive, signifiant que les nouvelles entrées sont inscrites dans le journal avant que les opérations sur les fichiers aient lieu. En conséquence, ces dernières peuvent être retentées ou annulées en cas de problème, sans pertes de données. Dans le cas d’un plantage par exemple, le système lit les journaux à la recherche d’opérations débutées et non terminées, pour corriger le tir.

    Le service Volume Shadow Copy (VSS) est l’une des fonctions les plus importantes de NTFS. Elle permet la sauvegarde automatique ou manuelle de fichiers, de dossiers ou de volumes, même quand ils sont en cours d’utilisation, via la création d’instantanés. Initialement temporaires dans Windows XP, ces instantanés (snapshots) sont devenus persistants à partir de Windows Server 2003. Lorsque VSS travaille sur un lot de données, les entrées/sorties sont brièvement figées, le temps que les informations nécessaires à une reconstitution soient stockées ailleurs, sur le même disque ou un autre.

    Les Access Control Lists (ACL) sont une autre fonction importante de NTFS. Ce sont elles qui définissent les autorisations d’accès, que ce soit pour un fichier ou un dossier. Elles peuvent être appliquées localement (par exemple en cas de comptes multiples sur un même ordinateur) ou pour le partage en réseau. On peut trouver facilement les ACL : dans l’onglet Sécurité de la fenêtre Propriétés d’un fichier ou dossier. On y verra alors la liste des utilisateurs ou groupes d’utilisateurs avec, pour chacun, les droits afférents. Exemple classique : les droits d’écriture pour la personne propriétaire d’un fichier, et de lecture uniquement pour les autres.

    Chaque ACL se compose de plusieurs champs, dont le SID de l’utilisateur ou du groupe, le type Access définissant l’action (lire, écrire, exécuter, etc.) et le type ACE, qui autorise ou interdit cette action. En ligne de commande, CACLS (apparue avec Vista) permet aussi de modifier les autorisations d’un fichier ou dossier.

    Quotas, chiffrement et compression

    Les quotas sont une fonction classique des systèmes de fichiers « modernes ». Comme leur nom l’indique, ils permettent d’affecter une certaine quantité d’espace disque à chaque utilisateur d’une machine. Le système est souple et permet par exemple de mettre en place des alertes automatiques pour l’administrateur, d’augmenter les plafonds, de générer des rapports sur l’utilisation, etc.

    Encrypting File System est une autre capacité apparue avec Windows 2000. Elle ajoute des capacités de chiffrement dans NTFS, pour les fichiers et dossiers. Il fonctionne main dans la main avec les ACL, mais permet d’aller plus loin en bloquant l’accès aux informations si une personne non autorisée utilise la machine. Il s’agit d’un chiffrement symétrique, dont la clé générale est elle-même chiffrée par une clé publique associée au propriétaire des données.

    Le déchiffrement se produit quand cette clé publique et la clé privée de l’utilisateur sont associées. Pour chiffrer un fichier ou un dossier, faites un clic droit sur l’élément puis Propriétés. Dans l’onglet Général, cliquez sur Avancé et cochez la case « Chiffrer le contenu pour sécuriser les données ».

    | Encrypted File System (EFS) : explorons les possibilités du système de chiffrement des fichiers sous Windows

    NTFS

    Notez qu’EFS est ancien et a été complété depuis plusieurs versions de Windows par un mécanisme supplémentaire, BitLocker. Arrivé avec Vista, il est dédié au chiffrement de partition ou intégral du disque et nécessite la présence d’une puce TPM 1.2 minimum dans l’ordinateur. Windows 10 et 11 Professionnel (ou Entreprise) le proposent systématiquement en fin d’installation, lors du premier démarrage. L’authentification de l’utilisateur (éventuellement via des facteurs multiples) est obligatoire pour déchiffrer les données. Bien que BitLocker s’appuie sur NTFS, il ne s’agit pas à proprement parler d’une de ses capacités.

    NTFS contient aussi depuis longtemps un mécanisme de compression, qui n’est cependant plus guère utilisé aujourd’hui, depuis que l’espace de stockage est devenu beaucoup plus abordable. Cette compression (basée sur l’algorithme LZNT1, variante de Lempel-Ziv) est transparente et sans perte. Microsoft avait publié en 2016 certaines explications sur cette compression, notamment pourquoi le gain n’était en moyenne que de 25 %

    Le mot-clé est « transparente », car les données présentées à l’utilisateur sont toujours sous leur forme décompressée, expliquant par exemple que l’empreinte (hash) d’un fichier compressé ne change pas. Les opérations sont en effet réalisées par le pilote à la volée. En conséquence, copier par exemple un fichier compressé vers une clé USB enverra la version décompressée. Pour compresser un fichier ou un dossier, il faut accéder au même panneau que précédemment et cocher la case « Compresser le contenu pour libérer de l’espace disque ».

    NTFS supporte également d’autres fonctions plus spécifiques, comme des points de montage permettent de lier des volumes à des dossiers, ou encore un mode transactionnel que les applications peuvent exploiter pour renforcer l’intégrité des données pendant des manipulations particulières.

    La défragmentation, c’est dépassé

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    La même extension pour Firefox m’aurait intéressée.

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    à une époque on calculait cette différence, cela avait même un nom, le slack 😉

    on voyait sur les forums une foules de gens demandant où était passé la différence de taille entre un dir /s et ce qu’il restait réellement sur le disque en dispo.

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    Merci je met de côté et je vais tester

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    Je regrette aussi beaucoup le charme hypnotique du défragmenteur de W 98. Mais je me dis que ce qui avait un charme fou avec un DD de 200 Mo doit devenir un cauchemar total avec un DD de 6 To ! 😉

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    On parle de gaspillage, de recyclage, de seconde main mais c’est une façon de faire tourner tous ça et être (mot à la mode rempli d’hypocrisie) “Eco-responsable”.

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    @Violence la rançon du succès pour Google, pas sûr qu’à sa création ils aient penser à ça :ahah:

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    ouai pour le grisou il y a longtemps :amis:

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    On y vient, on va y arriver…

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    L’autre jour, je naviguais sur les forums de XDA Developers et je suis tombé sur une application qui a vraiment retenu mon attention: NetGuard.

    NetGuard est un pare-feu gratuit et open source pour Android qui ne nécessite pas d’être root. Cette appli m’a intrigué car elle promettait de réduire l’utilisation de données, d’économiser la batterie et d’améliorer la confidentialité sur mon smartphone Android. J’ai donc décidé de passer tout ça en revue.

    Son interface est très simple à utiliser ça s’active ou se désactive en un clic. Ce que j’aime chez NetGuard, c’est également la possibilité de passer du mode liste noire (autoriser tout dans les paramètres, mais bloquer les applications indésirables dans la liste) au mode liste blanche (bloquer tout dans les paramètres, mais autoriser les applications préférées dans la liste). Cela permet de n’autoriser que les applis qui ont réellement besoin d’accéder à Internet.

    Pour vous donner une meilleure idée de l’interface, sachez que les couleurs tirant vers le rouge / jaune indiquent que l’accès à Internet est refusé, tandis que celles tirant vers le bleu, violet et gris indiquent que l’accès est autorisé. Le code couleur universel de la vie privée ^^ !

    L’une des fonctionnalités intéressantes de NetGuard est qu’il prend en charge IPv4/IPv6 TCP/UDP, le partage de connexion et permet de bloquer les applications système. De plus, NetGuard offre des fonctionnalités avancées comme l’enregistrement de l’utilisation du réseau par application et adresse, le blocage en cas de roaming, la possibilité de bloquer les publicités à l’aide d’un fichier hosts, et des thèmes personnalisables. Pour les utilisateurs PRO (payants), des fonctionnalités supplémentaires sont également disponibles, comme la journalisation de tout le trafic sortant, la notification de nouvelles applications et l’affichage d’un graphique de vitesse du réseau dans une notification de barre d’état.

    Attention cependant, il a été signalé qu’une application malveillante portant le même nom de package que NetGuard se trouve dans le Samsung Galaxy app store et peut être installée sans confirmation. Assurez-vous donc de télécharger NetGuard à partir d’une source légitime comme GitHub ou sur le PlayStore de Google.

    Je vous encourage à le télécharger et à l’essayer dès maintenant. La protection de votre vie privée et une meilleure gestion de la batterie de votre téléphone Android n’aura jamais été aussi facile.

    À découvrir ici : https://github.com/M66B/NetGuard

    – Source :

    https://korben.info/netguard-guide-protection-confidentialite-batterie-android.html

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    @Hadès a dit dans [Windows App] System Examiner : Un des meilleurs outils gratuits pour diagnostiquer votre ordinateur :

    du coup en connaisseur @Violence t’en pense quoi de cette aplli ?

    Utile ? useless ?

    @Hadès

    @Violence a dit dans [Windows App] System Examiner : Un des meilleurs outils gratuits pour diagnostiquer votre ordinateur :

    Oui, c’est surtout réservé aux dépanneurs.

    Le gros plus de cette application par rapport à d’autres du même type, c’est qu’elle est scriptable et ça c’est pas négligeable.

    Elle permet d’avoir un état des lieux d’une bécane en un clic de souris. Un gain de temps énorme.

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    ça peut etre utile pour connaitre la clé de gros aacs uhd mnt redfox propose ce genre d’outils depuis longtemps …

  • [Aide] Convertisseur vidéo

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    Bonjour,
    Les videos AVI sont généralement en 480p et exceptionnellement en 575p.
    Chercher de la HD avec ces résolutions et avec des logiciels grand public est à mon avis illusoire.
    On peut upscaler du 720p en 1080p avec de bons résultats mais le fossé est tel entre le 480p (et le 575p) et le 720p que le résultat ne peut qu’être décevant. Certes la fenêtre video va être plus grande mais la pixelisation sera pratiquement identique au fichier d’origine et ta rétine continuera à brûler. J’en ai fait l’amère expérience en essayant sur la série Les Rois Maudits qui était à l’origine en 575p.
    Je ne sais pas ce que tu as comme séries des années 90 mais beaucoup ont été remasterisées et sont disponibles sur des sites que nous connaissons tous. 🖖

  • [Aide] Chez vous aussi Teamviewer coupe en qqes mn ????

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    @Raccoon d’abord merci pour ta réponse, ensuite c’est un bon truc à savoir effectivement.

    Mais dans mon cas, une simple désinstall/reinstall de la dernière version aura suffit 😉 😉

  • [Aide] Synchro calendrier iphone - PC Windows 10

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    @Snoubi a dit dans Synchro calendrier iphone - PC Windows 10 :

    pourquoi ne pas prendre l’appli pc

    J’ai sur mon PC Office et Outlook. De même que j’ai Outlook sur mon iPhone.

    Merci pour tes réponses, même si je ne les comprends pas toutes (ce genre de problèmes m’a toujours dépassé… 😞 )

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    Si vous êtes un adepte de la prise d’images pendant les manifestations o urassemblements, cet outil pourra peut-être vous sauver la vie. Il s’appelle Image Scrubber et permet non seulement de supprimer les métadonnées de vos photos, mais également de flouter les visages et autres informations sensibles. Dans cet article, je vais donc vous montrer comment tirer le meilleur de cet outil protéger votre vie privée en ligne.

    Imaginons que vous soyez présent à une manifestation et que vous preniez la photo d’un groupe de personnes présentes. Il est possible que certaines d’entre elles ne souhaitent pas être identifiées. Grâce à Image Scrubber, vous pourrez maintenant anonymiser ces photos en quelques clics.

    Voici comment faire

    Allez sur le site d’Image Scrubber.

    Cliquez sur « Ouvrir » pour sélectionner une photo à anonymiser.

    Utilisez ensuite les outils pot de peinture et floutage pour masquer les visages ainsi que d’autres détails identifiables.

    Puis sauvegardez l’image anonymisée en cliquant sur « Enregistrer ».

    3992ba2e-9016-4587-80ae-3d95fbfaba75-image.png

    Ces étapes simples vous permettront comme ça de partager vos photos de manifestation (ou autre) en préservant la vie privée de vos amis et d’autres participants.

    L’une des choses les plus intéressantes à propos de Image Scrubber c’est qu’il fonctionne entièrement hors ligne. En effet, toute l’opération de traitement et d’anonymisation se fait directement dans votre navigateur. Comme ça, aucune donnée n’est stockée ou envoyée sur un serveur distant. Cela signifie que vous pouvez utiliser cet outil en toute sécurité, même si vous êtes à l’étranger et n’avez pas accès à une connexion Internet fiable.

    Il existe plusieurs façons d’utiliser Image Scrubber hors ligne:

    Vous pouvez charger la page sur votre téléphone, ajouter l’outil à l’écran d’accueil et activer le mode avion avant d’ouvrir des images. Ou télécharger le zip du projet sur le Github, le décompresser et ouvrir le fichier index.html dans votre navigateur

    https://github.com/everestpipkin/image-scrubber

    – Source

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    Désolé pour le HS, je ne peux pas résister à relever le “moule/quiche” comme nom de protocole… :lol:

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    Je connaissais pas, l’outil à l’air très complet je vais l’essayer sans tarder.

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    j’ai déjà un shell avec windows arium, peur que ca fasse de trop , mais bonne decouverte