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    L’entreprise a désormais l’obligation de permettre aux développeurs d’intégrer sur Android leurs propres systèmes de paiement ou de proposer leurs applications sur des plateformes alternatives à Google Play.

    Le feuilleton judiciaire durait depuis cinq ans : Google a perdu, jeudi 31 juillet, son appel contre Epic Games, qui édite notamment le jeu vidéo Fortnite. Désormais, l’entreprise doit autoriser l’installation sur les téléphones utilisant son système d’exploitation mobile, Android, de boutiques d’applications concurrentes à la sienne, Google Play.

    En 2023, un jury avait déjà reconnu le géant américain d’Internet coupable de monopole sur le marché de la distribution d’applications, donnant raison à Epic Games, à l’origine de la procédure. Google avait déposé un recours, qui vient d’être rejeté par la cour d’appel de San Francisco. Sa condamnation s’applique donc à présent : la firme doit permettre aux développeurs d’applications mobiles d’intégrer leurs propres systèmes de paiement, ou de proposer leurs applications sur des plateformes alternatives à Google Play, comme celle d’Epic, l’Epic Games Store, qui permet d’acheter et de jouer à des jeux vidéo.

    « Victoire totale dans l’appel Epic vs Google, s’est félicité Tim Sweeney, patron d’Epic Games, sur le réseau social X. Grâce à ce verdict, l’Epic Games Store va pouvoir arriver sur Google Play. » « Cette décision nuira gravement à la sécurité des utilisateurs, limitera le choix et sapera l’innovation qui a toujours été au cœur de l’écosystème Android », a de son côté réagi Lee-Anne Mulholland, vice-présidente chargée des questions de régulation chez Google, dans une déclaration transmise à l’Agence France-Presse.

    Lire la chronique | Article réservé à nos abonnés Google, Apple vs Epic Games : « Le monopole des géants du numérique s’érode trop doucement »

    Le feuilleton judiciaire durait depuis cinq ans : Google a perdu, jeudi 31 juillet, son appel contre Epic Games, qui édite notamment le jeu vidéo Fortnite. Désormais, l’entreprise doit autoriser l’installation sur les téléphones utilisant son système d’exploitation mobile, Android, de boutiques d’applications concurrentes à la sienne, Google Play.

    En 2023, un jury avait déjà reconnu le géant américain d’Internet coupable de monopole sur le marché de la distribution d’applications, donnant raison à Epic Games, à l’origine de la procédure. Google avait déposé un recours, qui vient d’être rejeté par la cour d’appel de San Francisco. Sa condamnation s’applique donc à présent : la firme doit permettre aux développeurs d’applications mobiles d’intégrer leurs propres systèmes de paiement, ou de proposer leurs applications sur des plateformes alternatives à Google Play, comme celle d’Epic, l’Epic Games Store, qui permet d’acheter et de jouer à des jeux vidéo.

    « Victoire totale dans l’appel Epic vs Google, s’est félicité Tim Sweeney, patron d’Epic Games, sur le réseau social X. Grâce à ce verdict, l’Epic Games Store va pouvoir arriver sur Google Play. » « Cette décision nuira gravement à la sécurité des utilisateurs, limitera le choix et sapera l’innovation qui a toujours été au cœur de l’écosystème Android », a de son côté réagi Lee-Anne Mulholland, vice-présidente chargée des questions de régulation chez Google, dans une déclaration transmise à l’Agence France-Presse.

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    Source : lemonde.fr

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    @Violence a dit dans Firefox face à ses contradictions : un navigateur pertinent, une gouvernance incohérente, un avenir incertain :

    Le local, c’est très bien mais faut penser à la sauvegarde !

    Oui, c’est clair, c’est pour ça que je trouve facile Clippings puisque tu reçois la notification de rappel de sauvegarde en fichier .json

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    Le procès antitrust que les autorités américaines intentent contre Google pourrait avoir des conséquences inattendues pour Firefox. En ligne de mire : l’accord financier qui fait de Google le moteur de recherche par défaut dans Firefox, une source essentielle de revenus pour la fondation Mozilla.

    Près de 85 % des revenus de Mozilla proviennent de ce partenariat. Si le démantèlement de Google ou une régulation plus stricte venait à annuler cet accord, cela priverait Firefox de la majorité de son financement, le mettant dans une situation critique. Mozilla se retrouverait alors à chercher de nouvelles sources de revenus ou à réduire fortement ses activités, menaçant l’existence du célèbre navigateur libre.

    Cette situation soulève un paradoxe : une tentative de réguler un géant du web pourrait, indirectement, affaiblir un acteur indépendant qui incarne l’alternative et le respect de la vie privée en ligne.

    – Plus d’informations ici :

    https://www.clubic.com/actualite-564138-le-demantelement-de-google-pourrait-il-tuer-firefox.html

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    Google s’offre Wiz pour 32 milliards de dollars, sa plus grosse acquisition à ce jour. Si vous ne connaissez pas Wiz, et bien cette startup israélo-américaine spécialisée en cybersécurité protège les infrastructures cloud, y compris celles d’Amazon et Microsoft. Un coup stratégique pour Google Cloud donc, qui veut rattraper ses concurrents. L’accord reste sous surveillance des autorités.

    Google mise gros sur la cybersécurité

    32 milliards de dollars. C’est la somme colossale que Google va débourser pour s’offrir Wiz, une startup spécialisée dans la protection des services cloud. Une acquisition qui surpasse de loin le précédent record du géant américain : Motorola Mobility, racheté pour 12,5 milliards en 2011. L’objectif de ce rachat ? Renforcer Google Cloud face à Amazon Web Services (AWS) et Microsoft Azure, ses deux plus grands rivaux, incontournables sur le marché du cloud computing.

    Fondée en 2020 par d’anciens cadres de Microsoft et des experts en cybersécurité de l’armée israélienne, Wiz s’est imposée en un temps record comme une référence du secteur. Son secret ? Une solution capable de détecter et de prévenir les menaces sur les infrastructures cloud, qu’elles soient hébergées chez Google, Amazon ou Microsoft. Un positionnement stratégique et agile, qui a séduit de nombreux clients, dont la moitié du Fortune 100 (les 100 plus grosses entreprises américaines donc), rien que ça…

    Wiz, une pépite qui valait de l’or

    Wiz n’en était pas à son premier flirt avec Google. En 2024, la firme de Mountain View avait déjà tenté de la racheter pour 23 milliards de dollars, mais la startup avait préféré décliner, en misant plutôt sur une introduction en bourse. Finalement, Google est revenu à la charge avec une offre plus alléchante (+9 milliards ajouté à la proposition, rien que ça), réussissant cette fois à convaincre les fondateurs et investisseurs.

    En quatre ans, Wiz a connu une ascension fulgurante. En 2022, elle était valorisée à 12 milliards de dollars. En 2024, elle affichait un chiffre d’affaires de 500 millions, avec l’ambition d’atteindre 1 milliard dès 2025. Pas étonnant que Google ait mis le paquet pour mettre la main dessus.

    Un coup dur pour la concurrence ?

    Avec ce rachat, Google muscle clairement son jeu en cybersécurité. Wiz viendra compléter le travail amorcé avec Mandiant, un autre spécialiste du domaine racheté en 2022 pour 5,4 milliards de dollars. L’enjeu est de taille : Microsoft génère déjà plus de 20 milliards de dollars par an avec ses services de sécurité cloud. Google espère donc combler son retard et convaincre plus d’entreprises d’adopter ses solutions.

    Sauf qu’attention, ce rachat ne plaît bien sûr pas à tout le monde. Wiz était jusqu’ici une entreprise indépendante, compatible avec tous les fournisseurs de cloud. Son passage chez Google pose la question : continuera-t-elle à protéger les infrastructures d’Amazon et Microsoft ? Pas sûr.

    Un deal sous haute surveillance

    L’accord doit encore être validé par les autorités américaines, qui scrutent de très près les mouvements des géants de la tech. Google fait déjà face à plusieurs enquêtes antitrust, et cette acquisition pourrait bien compliquer sa situation. Si la Federal Trade Commission américaine estime que ce rachat nuit à la concurrence, elle pourrait bloquer ou ralentir la transaction.

    Reste à voir comment Google va rassurer. Pour l’instant, la firme assure que Wiz continuera à travailler avec tous les fournisseurs cloud… Mais dans les faits, difficile d’imaginer qu’elle ne va pas privilégier sa propre plateforme. Une affaire à suivre donc !

    – Sources :

    https://www.nytimes.com/2025/03/18/technology/google-alphabet-wiz-deal.html

    https://www.lefigaro.fr/secteur/high-tech/avec-wiz-google-realise-la-plus-grosse-acquisition-de-son-histoire-pour-33-milliards-de-dollars-20250318

    https://korben.info/google-claque-32-milliards-pour-wiz-sa-plus-grosse-acquisition-jamais-realisee.html

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    Pour celles et ceux qui ne comprenaient pas ce que voulait dire “dérégulation”, en voilà un bel exemple…:blase:

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    En aout dernier, la justice américaine concluait que Google détenait bien un monopole sur la recherche en ligne et qu’elle en abusait. Après cette victoire contre la multinationale, le ministère de la Justice américain (Department of Justice, DOJ) monte son dossier de la phase de sanction contre Google.

    Google va peut-être devoir vendre Chrome, mais aussi mettre en place quelques changements dont l’arrêt de l’installation de son moteur de recherche par défaut sur les iPhone. L’entreprise est d’accord mais Apple pas tant que ça et a voulu mettre en avant les raisons de son accord avec Google, signale The Verge.

    Dans une déclaration devant la justice [PDF], le vice-président d’Apple, Eddy Cue, a indiqué que son entreprise ne voyait pas d’intérêt à créer son propre moteur de recherche : « la création d’un moteur de recherche coûterait des milliards de dollars et prendrait de nombreuses années », a-t-il expliqué.

    Source et suite : next.ink

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    Et bien sûr, les “incidents” ne se sont pas arrêtés en 2019 🙂

    De toute façon, Google vend ses données à qui veut payer (même à des escrocs), personne n’est à l’abri.

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    Comme tout le monde ne s’en fiche pas d’être outrgeusement fiché, quelques nouvelles.

    Google poursuivi en justice pour les collectes de données opérées par Chrome

    Une cour d’appel de San Francisco a décidé le 21 août que Google devrait répondre aux poursuites intentées par des utilisateurs de Chrome.

    Ces derniers accusent l’entreprise d’avoir collecté des données personnelles depuis son navigateur, sans leur accord, et alors qu’ils avaient choisi de ne pas synchroniser Chrome avec leurs comptes Google, YouTube et leur messagerie Gmail.

    Le recours collectif avait initialement été rejeté : un premier juge avait estimé que Google avait démontré avoir récolté le consentement des usagers à collecter leurs données.

    Cette fois-ci, en revanche, les plaignants ont réussi à faire entendre que la formulation choisie par Google au moment de recueillir le consentement puisse prêter à confusion à un utilisateur classique, n’ayant pas « les compétences d’un avocat d’affaires expérimenté ou d’une personne capable de se frayer facilement un chemin dans un labyrinthe de jargon juridique ».

    Fin décembre, rappelle l’AFP, Google a déjà accepté de détruire les données récoltées sur des millions d’internautes ayant utilisé le mode « incognito ». Les plaignants avaient réussi à démontrer que celui-ci donnait la fausse impression de naviguer en ligne sans être suivis.

    Source : next.ink

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    Photo de Etienne Girardet sur Unsplash

    « Avec l’abandon de Usenet par Google Groupes, le plus ancien de tous les réseaux sociaux est voué à disparaître », écrit ZDNet. Un rappel sous la forme d’une citation Wikipédia pour les plus jeunes : « Usenet est organisé autour du principe de groupes de discussion ou groupes de nouvelles (en anglais newsgroups), qui rassemblent chacun des articles (contributions) sur un sujet précis ».

    20 ans d’évolution en douceur des messageries Les groupes Google coupent les ponts avec Usenet

    Google vient en effet d’annoncer qu’« à compter du 22 février 2024, vous ne pourrez plus utiliser les groupes Google (sur groups.google.com) pour publier du contenu dans des groupes Usenet, vous abonner à des groupes ou afficher du nouveau contenu Usenet ».

    En outre, précise Google, « le serveur NNTP (Network News Transfer Protocol) de Google et le peering associé ne seront plus disponibles, ce qui signifie que Google ne prendra pas en charge la diffusion de nouveaux contenus Usenet ou l’échange de contenus avec d’autres serveurs NNTP ».

    Par contre, vous pourrez « continuer à afficher et à rechercher du contenu Usenet publié avant le 22 février 2024 sur Google Groupes ».

    Les usages ont « considérablement diminué »

    Google relève en effet qu’« au cours des dernières années, l’activité légitime des groupes Usenet basés sur le texte a considérablement diminué parce que les utilisateurs sont passés à des technologies et des formats plus modernes tels que les médias sociaux et les forums basés sur le web ».

    C’était la même justification lors de l’arrêt de Reader (lecteur de flux RSS) il y a 10 ans, avec tout de même la volonté de davantage contrôler la diffusion de l’information.

    Google explique aussi qu’« une grande partie du contenu diffusé sur Usenet aujourd’hui est un partage de fichiers binaires (non textuels), que Google Groups ne prend pas en charge, ainsi que des spams ». Les « binaires » n’ont absolument rien de nouveau et sont largement utilisés depuis des années par certains adeptes du partage de fichiers illégaux.

    Comme avec la fin de Reader et le RSS, cela ne signe pas l’arrêt de mort d’Usenet, qui continuera de fonctionner. Simplement, si vous utilisez les groupes Google pour y accéder, il faudra vous trouver un nouveau client et un serveur public.

    Retour dans le passé d’Usenet

    ZDNet revient aussi sur l’histoire de Usenet (UNIX User Network), créé en 1979 par un groupe d’étudiants de Caroline du Nord et rapidement connecté à ARPAnet, l’ancêtre d’Internet, via le protocole UUCP, depuis remplacé par NNTP. Usenet est donc arrivé quelques années après les emails et bien avant le lancement du World Wide Web.

    Il souligne également qu’« une grande partie du vocabulaire que nous utilisons aujourd’hui pour parler de l’utilisation du réseau provient de Usenet », à commencer par les foires aux questions (FAQ). Mais aussi que « le spam a également vu le jour sur Usenet ».

    Si le terme a été « inventé » par les Monty Python en 1970 et que le premier « spam » remonterait à 1978, « la première utilisation commerciale majeure du spam date de 1994, lorsque Laurence Canter et Martha Siegel, deux avocats, ont commencé à publier sur Usenet des annonces pour leurs services en matière de droit de l’immigration », rappelle ZDNet.

    1st spam on Usenet

    Notre confrère rappelle que Linux, par exemple, est né d’un message désormais célèbre envoyé sur Usenet en août 1991 par un certain Linus Benedict Torvalds : « un système d’exploitation (gratuit) pour les clones AT 386 (486) », dont le noyau (kernel) ne comptait alors « que » 10 000 lignes de code.

    En 2013, Free faisait parler de lui en prenant en charge les flux RSS et les newsgroups dans la version 2.0 de Freebox OS.

    | Freebox OS, cauchemar des ayants droit

    « Aujourd’hui, le réseau social Mastodon utilise une approche similaire avec le protocole ActivityPub, tandis que d’autres réseaux sociaux, tels que Threads, envisagent d’utiliser ActivityPub pour se connecter à Mastodon et aux autres réseaux sociaux qui supportent [ce protocole] », souligne ZDNet.

    Il relève aussi qu’« à bien des égards, Usenet est un avertissement sur la façon dont les réseaux sociaux peuvent mal tourner. Quoi qu’il en soit, les problèmes que nous voyons aujourd’hui sur les réseaux sociaux sont apparus pour la première fois sur Usenet ».

    Il n’en conclut pas moins en fournissant des liens vers un prestataire gratuit, eternal-september.org, et trois payants, permettant de continuer à accéder à Usenet.

    Source : next.ink

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    En septembre 2022, Google annonçait la fermeture de son service de streaming de jeu vidéo Stadia, une information importante concernait la manette. Celle-ci, utilisant en temps normal un protocole propriétaire basé sur le Wi-Fi, pouvait être mise à jour depuis un site dédié pour la faire basculer sur deux types de connexion plus courants : en filaire via USB-C et en Bluetooth.

    La date limite pour cette opération était fixée au 31 décembre. Nos confrères d’iGen ont remarqué que cette date avait récemment été décalée d’un an. Les personnes concernées ont donc désormais jusqu’au 31 décembre 2024 pour effectuer l’opération. En revanche, si elles ratent le créneau, la manette ne pourra plus être utilisée.

    iGen rappelle que la manette est compatible avec les iPhone 15 en la branchant en USB-C.

    Source : next.ink

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    @duJambon a dit dans La Cour suprême du Colorado valide les mandats d'arrêt par mots-clefs inversés :

    J’imagine que c’est simplement comme complément d’enquête, parce que moi, j’ai tapé: “Comment fabrique-t-on une bombe atomique ?” et je n’ai jamais eu d’ennui… excusez-moi, quelqu’un a sonné à ma porte.

    Tu as oublié la formule de politesse en fin de recherche « Allah Ackbar ».
    Résultat garanti. :salam_poulet:

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    @Rapace c’est le principe d’un botnet, infecter une machine ou objet connecté pour s’en servir comme “lanceur” de paquet

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    @Raccoon gratuit mais avec la contrepartie de pas avoir de vie privée

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    Google va leur dire ok, plus de Google chrome, plus de moteur de recherche, plus rien ca va vite faire prout

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    la question importante, est ce qu’il est woke comme les autres ou pas ?

    [link removed]/2023/02/23/etats-unis-wokisme-joe-biden-signe-un-decret-obligeant-les-intelligences-artificielles-a-avoir-une-ideologie-woke/

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    Google Bard se voit dotée de nouvelles fonctionnalités de codage !

    Très attendu dans l’univers technologique, Bard est toujours en phase de test auprès d’un groupe de confiance sélectionné par Google. Récemment, cette dernière a ajouté des fonctionnalités de codage capable de générer du code et de corriger des bugs. L’objectif selon la firme américaine est d’aider les développeurs et les particuliers à travailler plus facilement sur leurs projets informatiques.

    Google apporte une mise à jour à son chatbot Bard AI afin d’aider les développeurs dans leurs activités d’écriture et de débogage de code. Cependant, il convient d’indiquer qu’il ne s’agit pas d’une grande nouveauté dans la mesure où cette fonctionnalité est déjà présente dans ChatGPT et Bing AI. La firme de Mountain View indique toutefois que c’est « l’une des principales demandes » formulées par les utilisateurs depuis l’ouverture de l’accès le mois dernier. Désormais, Google Bard est en mesure de générer du code, de déboguer du code existant, d’expliquer des lignes de code et même d’écrire des fonctions spécifiques pour Google Sheet.

    Dans un article de blog, Paige Bailey, chef de produit de groupe pour Google Research explique que cette nouvelle technologie est développée dans « plus de 20 langages de programmation, dont C++, Go, Java, Javascript, Python et Typescript. » Grâce à ce potentiel impressionnant, vous pouvez demander à Bard d’expliquer des extraits de code ou d’expliquer du code dans les référentiels GitHub. Tout ceci se déroule de la même manière que l’outil GitHub de Microsoft implémente un assistant de type ChatGPT avec Copilot. Par ailleurs, le chatbot Bard sera en mesure de déboguer son propre code, s’il se rend compte qu’il a fait des erreurs.

    Source et plus: https://www.fredzone.org/google-bard-nouvelles-fonctionnalites-de-codage-rcp345

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    Font pas que des conneries en France!

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    ha ha 😉

    Je ne sais pas, je n’ai pas guetter tous les liens quand j’ai fait la recherche, mais pour l’attaquant, c’est tout simplement le panard 😉