Sciences

505 Sujets 2.3k Messages
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    @Pluton9 a dit dans La clé pour lutter contre la pseudoscience n’est pas la moquerie, c’est l’empathie :

    Paul M. Sutter est un crétin arrogant dans la pure tradition américaine qui prône que seuls ceux qui ont fait des études, peuvent être scientifiques et que seules leurs méthodes sont reconnaissables

    On en a un comme ça aussi chez nous 😁

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    Comment « faire vos propres recherches » peut vous conduire à des informations douteuses et à des théories du complot

    C’est pourtant simple : ne pas tout éponger au premier degré les égouts des réseaux “dits sociaux”, toujours rester maître de son libre-arbitre et de ses facultés de discernement sans céder aux chants des influenceurs quels qu’ils soient (idéologiques, politiques, marchands et publicitaires).

    Les plus perméables psychologiquement en attente et/ou en perte de repères ne le comprendront peut-être pas à leurs dépens. Mais ça viendra plus tard… ou pas.

  • Conseils aux planteurs de graines de doute

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    J’ai un doute, mais je me soigne:

    Source: https://jaiundoute.com/

  • [Vidéos] Sciences, zététique et plus encore...

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    David Louapre, lauréat de la Médaille de la médiation scientifique 2023 du CNRS

    Chaque mois, une nouvelle vidéo vient expliquer un concept scientifique issu de la biologie, de l’astronomie, de la physique quantique… David Louapre s’occupe ainsi de la chaîne YouTube Science Étonnante, qui compte plus de 1,3 million d’abonnés pour 110 millions de vidéos vues.
    “Je suis animé par la volonté de transmettre à la société ce que j’ai eu la chance d’apprendre pendant mes études et mes recherches”, raconte ce docteur en physique théorique diplômé de l’ENS Lyon.

    Alors qu’il travaillait dans la recherche privée chez Saint-Gobain, David Louapre a ouvert un blog, qu’il a transformé en chaîne YouTube en 2015. Il y aborde les sujets scientifiques qui le passionnent, rencontrant un vif succès en ligne. Il a ensuite publié plusieurs ouvrages de vulgarisation, dont “Mais qui a attrapé le bison de Higgs ?”. David Louapre est également directeur scientifique chez Ubisoft, où il adapte des simulations et les modèles scientifiques au monde du jeu vidéo.

  • [Conseils lecture] Sciences, zététique et plus encore...

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    @Pollux a dit dans [Conseils lecture] Sciences, zététique et plus encore... :

    Juste un dernier petit mot avant de vous laisser tranquille
    Je serais curieux de savoir comment, dans les années 20, ont été traités les gens, parce que pense qu’il y en a eu, qui émettaient des réserves sur ce nouveau produit miracle qu’était le radium.
    Cf le post de darkCainou un peu plus haut.

    C’est pourtant évident 😉
    si on se réfère à la crise actuelle…

    La plupart des scientifiques se sont montrés prudents, avant même l’utilisation massive, ils ont pris beaucoup de risques pour les tout premiers avec leur santé, mais rapidement ils ont mis un frein à l’utilisation débridée. Même si à l’époque cette science était très neuve (celle de la matière, les atomes etc… je ne parle pas de la radioactivité)

    Ensuite les charlatans, les scientifiques rebelles, les bonimenteurs, les entreprises ont utilisés ça en masse malgré les avertissements du corps scientifique (un peu comme Raoult et la chloroquine (qui a beaucoup tué, et les gens ont suivi leur gourou aveuglement comme pour le radium)), pour finalement sous la pression beaucoup trop tardive des états (surtout le notre 20/30 ans de retard sur le radium, toujours bien lent à réagir comme pour la crise de l’hydroxychloroquine). Il faut dire qu’il n’y avait pas les mêmes gardes fous, la science dans l’histoire de l’humanité, celle basée sur les preuves c’est assez récent.

    Heureusement, le Radium était tellement cher, les stocks mondiaux se comptaient en grammes que la plupart des entreprises qui vendait la radioactivité dans leurs produits (je parle des produits de beauté, alimentation etc…) n’en mettaient en fait pas, passé une époque.

    Dans le cas présent, les processus scientifiques ne sont plus du tout les même que y’a 120 ans, l’arnm n’est pas une nouvelle technologie découverte y’a 2 ans, il y a presque 30 ans de savoir accumulés, et ça se base sur un corpus de connaissances bien plus complètes sur l’adn et l’arn.

    Si on devait comparer au radium, se serait plus comme si on utilisait le premier vaccin ARNm dans les années 60 juste après la découverte et que posant un problème des scientifiques douteux continueraient à l’utiliser.

    L’ARNm du virus quand on attrape la covid on en est envahi complètement, rien à voir avec le vaccin et la petite dose, le risque de retro transcription est beaucoup plus important alors avec le virus, de même avec les effets secondaires.

  • Des images étonnantes montrent une "collision cosmique"

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    Même avec les bloqueurs de pubs sur firefox, dans ma campagne profonde à Pen-Ar-Bed, j’y accède aussi 😉

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    K2-18B, signes de vie finalement pas si “prometteurs”

    La découverte de signes potentiels d’une activité biologique hors du système solaire, annoncée en avril par une équipe américano-britannique, est remise en cause par de nouvelles études.

    Grâce au télescope James Webb, ils affirmaient avoir détecté dans son atmosphère des signes de composés chimiques longtemps considérés comme des “biosignatures” d’une possible vie extra-terrestre. Du sulfure de diméthyle (DMS) et du disulfure de diméthyle (DMDS), qui, sur Terre, sont uniquement produits par des organismes vivants - principalement du phytoplancton.

    “Je pense que c’est le cas le plus proche d’une caractéristique que nous pouvons attribuer à la vie”, assurait à la presse Nikku Madhusudhan, astrophysicien à l’Université de Cambridge et auteur principal de l’étude. Tout en soulignant que d’autres observations étaient nécessaires.

    En 2023, James Webb avait déjà détecté la présence de méthane et de dioxyde de carbone dans l’atmosphère de K2-18b. Une première pour une exoplanète située dans la “zone habitable”, c’est-à-dire ni trop près, ni trop loin de son étoile pour que puisse y exister un ingrédient essentiel à la vie: de l’eau à l’état liquide.

    Si les signes étaient cette fois beaucoup plus nets, ils restaient cependant bien au-dessous du seuil de signification statistique considéré comme crucial par les scientifiques pour valider une découverte.

    Dès la publication de l’étude, des astronomes avaient émis des doutes. Et de récents travaux - qui n’ont pas été encore revus par des pairs - les ont renforcés.

    Deux anciens étudiants de M. Madhusudhan, Luis Welbanks de l’Université d’Etat d’Arizona et Matthew Nixon de l’Université du Maryland, font partie des chercheurs qui ont réexaminé les données.

    En utilisant d’autres modèles statistiques, “les affirmations sur la détection potentielle d’une biosignature s’évaporent”, écrivent-ils dans une étude préliminaire publiée le mois dernier.

    Ils ont élargi le nombre de produits chimiques possibles pouvant expliquer les signaux détectés par James Webb à 90, contre 20 dans l’étude originale.

    Plus de 50 ont donné un “résultat”. “Lorsque vous détectez tout, est-ce que vous détectez réellement quelque chose ?”, s’interroge M. Nixon auprès de l’AFP.

    Sans exclure que l’atmosphère de K2-18b puisse contenir du DMS, les deux chercheurs jugent que d’autres observations sont nécessaires.

    Source et plus: https://www.7sur7.be/sciences/y-a-t-il-de-la-vie-sur-une-exoplanete-la-decouverte-de-signes-de-vie-extraterrestre-remise-en-cause~a191b747/

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    Voilà le grand jour est arrivé, Calvin, grand goinfre qu’il est, va nous faire un petit coucou dans notre planète (merde on est foutu 😥)

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    Nos arrières petits enfants joueront en faisant “pfff” avec les voiturettes et “vroum vroum” avec les fusées…
    Tant qu’ils entendront le “cui-cui” des oiseaux, rien ne sera tout à fait perdu 🙄 😁

  • La lune, future guerre des étoiles ?

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    Le programme Artemis amputé, la Chine arrivera-t-elle la première sur la Lune ?

    Le projet de budget publié début mai par l’administration de Donald Trump aux États-Unis réduit drastiquement les ambitions du programme lunaire de la Nasa. Ce recul offre la possibilité à la Chine de se rapprocher de la tête de la course au retour sur la Lune.

    Pierre angulaire du programme d’exploration lunaire Artemis, la station orbitale Lunar gateway vise à servir de relais entre la Terre et la surface lunaire pour les équipages et certains équipements. Sous condition d’approbation du Congrès américain, le projet serait purement et simplement abandonné.

    La nouvelle administration des États-Unis révise à la baisse son retour sur la Lune. Si le plan budgétaire présenté par la Maison Blanche vendredi 2 mai obtient l’approbation du Congrès, le programme Artemis – qui doit renvoyer des astronautes sur la Lune pour la première fois depuis 1972 – prendrait de plein fouet la coupe budgétaire. La fusée super-lourde Space Launche System (SLS) et la capsule d’alunissage Orion, conçues en partenariat avec l’agence spatiale européenne (ESA), devraient ainsi être mises au placard après la troisième mission, au profit d’engins d’entreprises privées… comme celles de SpaceX, l’entreprise du proche de Donald Trump Elon Musk. La station spatiale orbitale Gateway serait, elle, purement et simplement abandonnée.

    Un véritable changement de paradigme, alors que le programme Artemis visait à l’origine à assurer une présence humaine permanente en orbite de la Lune. La date d’alunissage d’un équipage reste officiellement inchangée sur le site web de la Nasa : mi-2027. Mais plusieurs pays pourraient bien prendre la tête de cette course à l’exploration lunaire.

    La Chine, premier concurrent

    Parmi les plus sérieux compétiteurs, la Chine espère envoyer ses premiers astronautes fouler le sol lunaire en 2030. Mi-juin 2024, sa fusée super-lourde Long March 10 a réussi un test d’allumage statique de son premier étage. Deux mois plus tôt, le moteur de la future fusée réutilisable a réalisé 15 tests répétés ainsi que 30 allumages. Chargée de transporter la capsule spatiale lunaire de plus de 20 tonnes Mengzhou, la fusée doit effectuer son premier vol d’essai en 2026 dans une version réduite.

    Originalité du programme lunaire chinois : il privilégie les robots aux humains. Le programme de la République populaire ambitionne de mettre sur pied, conjointement avec la Russie, une station scientifique équipé de plusieurs mini-rovers d’exploration en 2036. «La base lunaire chinoise est pensée sur un mode automatisé, avec une présence humaine ponctuelle. C’est la grande différence avec le programme Artemis, qui s’appuie dans sa version originale sur une présence permanente d’humains dans la station dite Gateway en orbite autour de la Lune», précise Isabelle Sourbès-Verger, directrice de recherche au CNRS spécialiste des politiques spatiales.

    Cette approche a l’avantage de réduire les coûts. Car la Chine dépense bien moins que le colosse américain. Au total, elle a consacré un peu plus de 14 milliards de dollars à ses programmes spatiaux en 2023 d’après Euroconsult, cabinet européen spécialisé dans l’industrie spatiale. Les États-Unis auraient dépensé, eux, 73 milliards de dollars la même année selon les estimations du cabinet.

    La Chine a frappé fort, début 2019, avec sa mission Chang’e 4. Le pays au milliard d’habitants a posé une sonde spatiale sur la face cachée de la Lune, qui a ensuite redécollé en embarquant avec elle plusieurs échantillons. Un véritable tour de force technologique, alors que les ingénieurs chinois n’étaient plus en situation de communiquer directement avec l’engin.

    L’Inde : objectif Lune en 2040

    De son côté, l’Inde ambitionne de faire marcher un astronaute sur la Lune d’ici à 2040. Dans sa feuille de route, l’agence spatiale indienne (Isro) prévoit de placer une station spatiale habitée en orbite autour du satellite naturel de la Terre la même année. Pour rejoindre la Lune, les ingénieurs indiens planchent également sur le développement du premier lanceur super-lourd du pays. Baptisée NGLV (Next generation launch vehicle), la fusée réutilisable doit effectuer son premier vol en 2032.

    Grande victoire pour l’Isro : son module Chandrayaan-3 est devenu, à l’été 2023, la première sonde de l’histoire à se poser près du pôle Sud lunaire – quelques jours seulement après le crash de la sonde russe Luna-25 dans la même zone. Le pays rejoignait alors le club restreint des États ayant posé avec succès un engin sur le satellite naturel de la Terre, après les États-Unis, l’Union soviétique et la Chine.

    La Russie mise sur une station nucléaire

    Cinq décennies après la mise en pause de son programme d’exploration spatiale, la Russie a relancé ses ambitions avec le lancement, à l’été 2023, de sa sonde lunaire Luna-25. Ce vol de reprise s’est soldé par le crash de l’engin sur le sol lunaire. «Une fois qu’ils auront corrigé les erreurs lors de la dernière phase d’alunissage de Luna-25, et si Vladimir Poutine veut bien mettre la main à la poche, la Russie est parfaitement capable de réaliser des missions lunaires automatiques», note Isabelle Sourbès-Verger.

    La marche financière reste toutefois haute pour la Russie : embourbé dans la guerre en Ukraine, le budget de son agence spatiale Roscomos est au minimum. Celui-ci a été fixé à 210 milliards de roubles en 2022 (2,5 milliards d’euros). Soit environ autant que le budget alloué la même année par le Congrès américain pour le développement du seul lanceur lunaire SLS.

    En parallèle, le vaste pays joue une autre carte : la production nucléaire lunaire. Roscomos a signé, début mai, un mémorandum de coopération avec la Chine dans le cadre de la création d’une centrale électrique russe. Le projet vise à installer sur la Lune un réacteur nucléaire compact, capable d’alimenter en électricité la future station spatiale robotisé chinoise.

    L’Europe a les moyens

    Côté européen, le potentiel retrait du partenaire historique américain sonne comme un avertissement. L’Agence spatiale européenne (ESA) n’a pas, elle, développé son propre programme lunaire. Les géants du Vieux continent Thales Alenia Space et Airbus sont engagés dans le programme américain avec la fabrication de plusieurs modules de la capsule Orion – notamment ses systèmes de propulsion et d’alimentation électrique – ainsi que de l’habitat principal de Lunar Gateway. Las, les deux engins sont dans le viseur de l’administration américaine.

    «Si on ne peut plus avoir confiance dans le partenariat avec les Américains, ce sera désagréable pendant un certain temps. Mais l’Europe a les moyens de fonctionner en autonomie dès lors qu’elle aura défini sa propre stratégie», pointe Isabelle Sourbès-Verger. L’Europe dispose à la fois de fortes compétences scientifiques et technologiques, mais également d’une force de frappe financière. «Si vous additionnez tous les pays européens, l’ESA et l’Union européenne, l’Europe a un budget équivalent à celui de la Chine», précise la chercheuse.

    Prudente, l’ESA a indiqué début mai réaliser une évaluation avec les Etats membres concernant «les actions possibles et les scénarios alternatifs pour les programmes de l’ESA concernés ainsi que l’industrie européenne associée». Verdict prévu lors du conseil de l’agence spatiale, en juin.

    Source: https://www.usinenouvelle.com/article/le-programme-artemis-ampute-la-chine-arrivera-t-elle-la-premiere-sur-la-lune.N2231855

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    Y’aura peut être des tardigrades dedans, va savoir 😁

  • Saga G Milgram

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    @michmich
    Vu !
    j’ai explosé de rire au moment ou il explique les incrustations qu’il a placé dans la vidéo que ces “extraterrestres” ont diffusé pendant leur show.
    Sinon je me demande comment on peu en arriver à être certain de venir d’une autre galaxie… mais bref…

    J’ai perdu foi en l’humanité…

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    @Raccoon a dit dans Le record du nombre de fusées lancées en 24h a été (largement) battu et ça n’est pas qu’une bonne nouvelle :

    C’est le propre de l’humain de saloper et de semer des déchets partout où ça lui est possible.

    Sapiens est doué pour conquérir, pas pour gérer…

  • Dans la jungle du home-cinéma

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    Ajout d’une section: Longueur des câbles et HDMI AOC

    Il existe maintenant des câbles avec conversion du signal électrique en fibre optique dénommés HDMI AOC, rien à voir avec du rouge ou un camembert, AOC signifie dans ce cas-là: Câble Optique Actif

    Voir le premier post du topic pour plus d’informations.

    Nouveau remaniement, pour supprimer les obsolescences et autres maladresses.
    Rajout de considérations sur les enceintes à réflexion atmos, de la disposition des enceintes dolby et dts en 13.2 (ou moins).

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    Capables de graver des transistors sur des composants avec une finesse de quelques nanomètres, les machines d’ASML sont les plus avancées pour la fabrication des semi-conducteurs. Elles assurent à cette société néerlandaise une domination mondiale sur ce secteur stratégique.

    La machine est grande comme un bus et coûte 380 millions d’euros pièce : « High NA EUV » renferme le nec plus ultra de la technologie. Elle peut graver des composants dont la taille se mesure en nanomètres, soit quelques milliardièmes d’un mètre.

    Derrière ce savoir-faire, se cache une entreprise : ASML. Cette société néerlandaise conçoit des appareils utilisés pour la fabrication des semi-conducteurs. Ses clients ? Intel, AMD ou encore TSMC, le plus grand fondeur au monde, qui produit notamment les puces de Nvidia.

    C’est peu dire qu’ASML dispose d’une technologie stratégique : les semi-conducteurs sont au coeur des puces électroniques, qui sont le cerveau de tous les appareils électroniques.
    Un quasi-monopole mondial

    Les plus grandes entreprises de la tech mondiale ou du secteur de la défense en ont besoin pour faire fonctionner les smartphones, les ordinateurs ou même des missiles.

    Comment fonctionnent les machines d’ASML ? Pourquoi l’entreprise bénéficie-t-elle d’un quasi-monopole mondial ? Quels pays préparent leur riposte ? Explications dans notre décryptage vidéo.

    Source et vidéo : lesechos.fr

  • Un équipage chinois s'envole pour la station Tiangong

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    Chine : décollage réussi des trois taïkonautes de la mission Shenzhou-20

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    Vidéo et plus: https://fr.euronews.com/next/2025/04/24/chine-decollage-reussi-des-trois-astronautes-de-la-mission-shenzhou-20

  • L’odyssée des chiffres [Arte]

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    La narration est très bonne ce qui me motive à poursuivre le visionnage. Merci du partage @Aurel

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    Des deux lunes martiennes, Phobos retient davantage l’attention, notamment comme une possible étape pour des missions habitées vers Mars. Plus grande que Deimos, avec un rayon de 11 km, Phobos est plus proche de la surface martienne, à un peu plus de 9 000 km.

    En revanche, Déimos est beaucoup plus petite, avec un rayon de 6 km, et bien plus éloignée, à plus de 23 000 km de la surface. Elle est si petite qu’à la surface de Mars, Déimos apparaîtrait à peine aussi brillante dans le ciel nocturne que Vénus vue de la Terre.

    Mais qui n’aime pas les histoires d’outsiders ? Les scientifiques ont imaginé toutes sortes d’utilisations pour Deimos, notamment l’utilisation de ses sables pour l’aérofreinage de grandes missions vers Mars et le retour d’échantillons de la minuscule lune. Alors peut-être que Deimos finira par faire son temps.

    Nous avons récemment obtenu l’une de nos plus belles vues de la minuscule lune à ce jour lorsqu’une mission européenne nommée Hera, en route vers l’astéroïde Didymos, a survolé le système martien pour bénéficier d’une assistance gravitationnelle. Lors de ce transit, la sonde s’est approchée à seulement 300 km de Deimos. Sa caméra de cadrage d’astéroïde a capturé cette magnifique image, certes artificiellement colorée, mais ne boudons pas notre plaisir.

    Quoi qu’il en soit, c’est un aperçu rare de l’une des plus petites lunes connues du système solaire, et je pense que c’est spectaculaire.

    Source: https://arstechnica.com/space/2025/04/tuesday-telescope-hera-today-gone-to-deimos/

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    Aboutissement de plus de 30 ans de travail, l’Agence spatiale européenne (ESA) lance lundi vers l’ISS un ensemble d’horloges atomiques afin d’y mesurer le temps avec une très haute précision et tester la théorie de la relativité générale.

    Grâce à cette mission, les scientifiques vont pouvoir “mesurer l’effet de l’altitude sur l’écoulement du temps”, résume Didier Massonnet, chef du projet PHARAO au Centre national d’études spatiales français (CNES).

    Depuis 1915, grâce à la théorie de la relativité générale d’Albert Einstein, il a été démontré que le temps n’est pas le même partout: il ralentit à proximité d’un objet massif, au point de s’arrêter au bord d’un trou noir, par exemple.

    Sur Terre, le temps passe plus vite au sommet de la tour Eiffel qu’à sa base, mais cet “effet Einstein” est infinitésimal. Il devient en revanche perceptible quand on s’éloigne dans l’espace.

    Corriger le décalage gravitationnel

    Les systèmes de positionnement par satellite, comme GPS ou Galileo, sont obligés d’en tenir compte pour donner une position avec précision. En orbite à 20’000 kilomètres d’altitude, leurs horloges atomiques avancent de 40 microsecondes chaque jour par rapport à celles positionnées sur Terre.

    L’objectif est d’améliorer la mesure de ce “décalage gravitationnel” de deux décimales, pour atteindre une précision d’“un millionième”, explique Didier Massonnet.

    L’ensemble ACES, pour Atomic Clock Ensemble in Space, composé de deux horloges atomiques, sera lancé lundi avec une fusée Falcon 9 de SpaceX depuis Cap Canaveral en Floride pour rejoindre la Station spatiale internationale (ISS), à 400 kilomètres d’altitude. Là, un bras robotique positionnera ACES à l’extérieur de la station sur le module Colombus: il y restera 30 mois pour collecter les données des horloges.

    La vibration de l’atome de césium

    La première horloge, PHARAO, en sera le cœur battant. A l’intérieur d’un tube à ultravide, des atomes de césium seront refroidis par laser à une température proche du zéro absolu – dont la température est de -273° C. Immobilisés par le froid et en situation d’impesanteur, leurs vibrations à une fréquence particulière seront comptées avec davantage de précision que sur Terre.

    La Suisse a fourni la seconde horloge atomique de cette mission: le SHM, pour Space Hydrogen Maser, a été développé et construit dans notre pays par Safran Time Technologies. Ce dispositif est un maser qui utilise des atomes d’hydrogènes pour donner l’heure.

    PHARAO ne dérivera que d’une seconde tous les 300 millions d’années
    Centre national d’études spatiales français (CNES)

    Quel est le rapport de ces atomes avec la mesure du temps? La seconde – l’unité de temps – a longtemps été définie comme une fraction de la rotation de la Terre, soit 1/86’400ᵉ d’un jour solaire moyen. Mais notre planète ne tourne pas régulièrement. Contrairement au “tic-tac” d’un atome.

    Depuis 1967, la seconde correspond officiellement à 9’192’631’770 périodes d’une onde électromagnétique émise par un atome de Césium 133 qui change d’état d’énergie (lire encadré).

    Couplée au SHM, PHARAO donnera le temps avec une exactitude et une stabilité exceptionnelles. Elle ne dérivera que d’une seconde tous les 300 millions d’années, soit une exactitude de 10−16. Dans une vidéo, le CNES ajoute encore: “Si l’horloge PHARAO avait existé au moment du Big Bang [il y a 13,8 milliards d’années], elle aurait dérivé de moins d’une minute depuis le début du temps!”

    Un “long voyage”

    “Partir d’un concept d’horloge atomique, aller en orbite, pouvoir maintenir le standard de la seconde sur l’ISS et le partager avec des horloges atomiques partout sur Terre” s’est avéré être un projet “technologiquement très difficile et délicat”, a souligné lors d’une conférence de presse Simon Weinberg, responsable britannique du projet ACES à l’ESA.

    Ce “long voyage”, qui a débuté “il y a 32 ans”, a connu de nombreuses péripéties et difficultés. De la miniaturisation et l’adaptation à l’environnement spatial de l’horloge atomique, dont le modèle original “occupe une pièce entière” à l’Observatoire de Paris, jusqu’à la conception d’un lien micro-ondes suffisamment précis pour transmettre le temps de PHARAO de façon fiable sur Terre.

    Au sol, neuf terminaux dans le monde – en Europe, au Japon et aux Etats-Unis – vont le comparer au temps mesuré par leurs propres horloges.

    “Les différences vont être analysées pour déterminer si le résultat est en accord avec les prédictions de la théorie de la relativité”, a expliqué à la presse Philippe Laurent, responsable des activités ACES/PHARAO à l’Observatoire de Paris.

    Dans le cas inverse, “une nouvelle fenêtre s’ouvrira dans le monde de la physique”. Qui devra effectuer des ajustements pour faire coïncider les équations d’Einstein avec les observations.

    Et peut-être avancer dans la quête du Graal de la physique contemporaine: réconcilier la relativité générale, qui explique le fonctionnement de l’Univers, et la physique quantique, qui régit l’infiniment petit. Deux théories qui fonctionnent remarquablement bien… mais sont jusqu’à présent incompatibles.

    Source: https://www.rts.ch/info/sciences-tech/2025/article/horloges-atomiques-dans-l-espace-test-inedit-de-la-theorie-d-einstein-28858825.html

    En 1967, les scientifiques définissent la seconde comme correspondant à 9’192’0631’770 oscillations d’un atome de césium 133 qui change d’état d’énergie.

    Les années 2000, ont vu l’apparition d’une nouvelle génération d’horloges dites optiques, 100 fois plus précises que les horloges atomiques. Une horloge optique compte les oscillations des ondes électromagnétiques.

    Cette avancée devrait aboutir dans les prochaines années à une nouvelle définition de la seconde.

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    Petite remarque concernant l’utilisation de chatgpt dans l’article ci-dessus

    Si vous me connaissez un peu, vous savez que je considère que l’I.A. est un terme usurpé et que les systèmes à langage prédictifs sont bêtes comme leurs pieds.

    Je n’ai pas changé d’avis, ces systèmes sont des outils, et comme tous les outils, ils nécessitent une bonne connaissance de leur fonctionnement pour un maniement correct et un résultat juste.

    Je n’ai pas demandé à chatgpt de me faire un graphique par années des astronautes passés en orbite, je lui ai demandé de faire un graphique (ce qu’il sait apparemment faire) à partir de données correctes que je lui ai fourni, ou plutôt celle de la FAA, prises sur LEUR site et pas chez n’importe qui dans le cloud. Grosse nuance…

    A bon entendeur. 🙂