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  • Microsoft restructure, milliers de licenciements

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    Le groupe n’a pas précisé le nombre d’employés affectés. Une source proche du dossier a indiqué que ce plan social portait sur «moins de 3%» des effectifs du groupe, soit environ 6000 personnes. Microsoft comptait 228’000 employés à la clôture de son exercice comptable décalé, fin juin 2024.

    «Nous gagnons en agilité en réduisant les échelons» hiérarchiques, a précisé Microsoft qui, selon plusieurs médias, s’était déjà séparé d’environ 2000 salariés depuis le début de l’année. (décision intelligente dans ces grosses boîtes où il y a toujours plus de chefs que d’indiens)

    Début 2023, l’entreprise de Redmond (Etat du Washington) avait licencié environ 10’000 personnes, une décision présentée comme un contrecoup à l’accélération des dépenses informatiques lors de la pandémie de coronavirus.

    Le directeur général Satya Nadella a révélé fin avril, lors d’un échange public avec le PDG de Meta Mark Zuckerberg, que 20% à 30% du code informatique produit par Microsoft était désormais généré par l’IA. (c’était déjà plein de bugs avant…)

    «Nous allons permettre aux employés de passer plus de temps à des tâches utiles grâce au déploiement de nouvelles technologies et fonctionnalités», a décrit Microsoft, mardi. Le conglomérat informatique, présent dans les logiciels mais aussi l’informatique à distance et les équipements, a publié, fin avril, des résultats supérieurs aux attentes et a assuré que la demande de services et de capacités liés à l’IA était toujours soutenue.

    Source: https://www.bluewin.ch/fr/infos/economie/microsoft-restructure-milliers-de-licenciements-2694444.html

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    Provisoirement, et il reste l’assistant vocal du smartphone pour espionner. 🙂

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    C’est pas leur argent mais le nôtre donc pas un problème

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    Et oui, un objet connecté comme les onduleurs ça se protège. Dans ma ville, chaque objet connecté comme les feux rouges par exemple, ont leur propre pare-feu. La CNIL recommande aussi d’alterner les marques de pare feu. J’vous raconte pas le bordel…

  • L’obsolescence programmée est-elle née à Genève?

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    Il y a cent ans, des fabricants d’ampoules électriques fondaient le cartel Phœbus, et décidaient de limiter la durée de vie de ces produits.

    Un smartphone qui bugue à l’échéance de sa garantie commerciale. Une imprimante qui indique que ses cartouches d’encre sont vides alors qu’il reste du produit à l’intérieur. Une tablette dont la mise à jour logicielle n’est plus assurée après une certaine date. On a tous connu ce genre de situation avec nos appareils. «C’est de l’obsolescence programmée», lance-t-on à chaque fois, énervés et frustrés.

    Le concept est connu: fabriquer des articles dont la durée de vie est volontairement limitée pour forcer les consommateurs à changer plus souvent, donc à acheter plus souvent aussi, augmentant ainsi les ventes des producteurs. Le principe qui le sous-tend est simple: dans un système économique basé sur la (sur)consommation, si les consommateurs achètent moins ou n’achètent plus, le système se grippe, avec ses conséquences: faillites d’entreprise, licenciements et, par extension, récession.

    Réunion secrète à Genève

    Le phénomène d’obsolescence programmée ne serait pas nouveau. Selon certaines sources, il remonterait au début du siècle passé. Et il aurait un lien avec Genève.

    Le 15 janvier 1925, était fondé dans le canton du bout du lac Léman le cartel Phœbus (du nom du dieu du soleil dans la mythologie romaine). «Phœbus S.A. Compagnie Industrielle pour le développement de l’éclairage», de son nom complet, lit-on dans la «Feuille officielle suisse du commerce», datée du 7 février 1925, en page 216 (voir ci-dessous).

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    Extrait de la «Feuille officielle suisse du commerce», portant mention de la société anonyme Phœbus, le 15 janvier 1925, à Genève

    Les plus grands fabricants d’ampoules électriques de l’époque en faisaient partie. Parmi eux, l’allemand Osram, le néerlandais Philips, l’étasunien General Electric ou encore le français Compagnie des lampes.

    La création du cartel Phœbus faisait suite à une réunion, présentée comme secrète, qui s’était tenue quelques jours plus tôt, le 23 décembre 1924, à Genève aussi, entre les dirigeants de ces entreprises.

    Le but de cet oligopole international était de contrôler la fabrication et la vente des lampes à incandescence dans tous les pays, et de se partager le marché mondial.

    Mille heures seulement

    Les membres du cartel Phœbus s’engageaient, notamment, à ce que «la durée de vie moyenne des lampes destinées à l’éclairage général ne peut être garantie, rendue publique ou proposée seulement à la condition qu’elle soit équivalente à 1000 heures».

    Ses membres du cartel devaient envoyer des spécimens de leurs ampoules dans un laboratoire en Suisse (le lieu exact n’est pas précisé dans les sources qui en font mention) pour contrôler que leurs produits respectaient bien ce seuil. Dans le cas contraire, ils devaient payer des amendes au cartel.

    De fait, selon un tableau diffusé sur internet, qui proviendrait des Archives du Land de Berlin, la durée de vie moyenne des ampoules serait ainsi passée d’environ 3000 heures en 1926 à 1000 heures, voire moins selon les fabricants, vers 1933-1934.

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    Évolution de la durée de vie des ampoules fabriquées par les membres du cartel Phœbus

    Si le cartel Phœbus a bel et bien existé jusqu’à la Seconde Guerre mondiale, les motivations réelles de ses membres derrière cette restriction de la durabilité de leurs lampes divergent selon les sources.

    Raison commerciale ou technique?

    Pour certains, les fabricants auraient cherché à réduire délibérément la durée de vie des ampoules pour des raisons purement lucratives: produire du jetable pour accélérer le taux de remplacement, donc augmenter les ventes, et donc les chiffres d’affaires.

    En revanche, pour d’autres, l’intention aurait été purement technique: trouver le meilleur compromis possible entre la qualité des ampoules et leur consommation d’énergie. Les 1000 heures seraient ainsi un optimum.

    En 1951, la Commission antitrust britannique a publié un rapport sur les pratiques du cartel Phœbus. Elle y dénonce une entente sur les prix qui aurait conduit le consommateur à payer plus cher ses lampes. Par contre, elle réfute l’accusation d’une limitation de la durée de vie pour raison commerciale, comme on peut lire dans ses conclusions (page 98 du document).

    Déchets et pollution

    Aujourd’hui, la non-durabilité planifiée (autre nom de l’obsolescence programmée) est dénoncée, notamment par des partis écologistes, des mouvements militant pour la décroissance et des organisations de défense des consommateurs.

    Et pour cause, son impact sur l’environnement est fort, puisqu’il entraîne un épuisement des ressources naturelles et une augmentation des déchets et de la pollution. Selon un collectif d’associations, rien qu’en France, l’obsolescence programmée serait responsable de la panne de quelque 40 millions de biens qui ne sont pas réparés.

    Certains États ont rendu illégale l’obsolescence programmée. C’est notamment le cas de la Suisse et de la France.

    Source: https://www.tdg.ch/pollution-lobsolescence-programmee-serait-nee-a-geneve-734459024532

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    @Violence probablement qu’on en aura un peu, mais je ne suis pas sûr que la conduite autonome dure dans le temps, faute de ressources matérielles.

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    @Raccoon a dit dans Le hacker avait infiltré Adecco : la gigantesque escroquerie aux 2 400 parties civiles bientôt jugée :

    Travailleurs intérimaires

    Comme si ils avaient pas assez de galère, faut qu’un crétin les pirate grace à l’aide de l’autre dumbass

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    @Aurel c’est pas toi qui va à la tablette, c’est la tablette qui vient à/en toi. :mouhaha:

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    Putain ! Manquait plus que ça. On me fait un coup pareil, mon héritage par direct à l’I.A.

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    @Violence merci pour l’info, j’ai retiré par précaution mais bon après je n’ai rien a cacher non plus 🙂

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    L’Anssi a publié un rapport sur l’activité du groupe de cyberespionnage lié au renseignement russe Fancy Bear, ou APT28. Ce dernier a ciblé ou compromis une dizaine d’entités françaises sensibles, dont des ministères, des organisations de défense et une entité liée à l’organisation des Jeux olympiques. Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères dénonce des “activités déstabilisatrices inacceptables”.

    Le groupe de cybercriminels Fancy Bear, également connu comme APT28, continue de faire des victimes en France. Agissant pour le compte du service de renseignement militaire de la Russie (GRU), ces pirates ont ciblé une dizaine d’entités françaises sensibles depuis 2021 à des fins de cyberespionnage, révèle l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi).

    Des campagnes de phishing et des attaques par force brute

    Dans son rapport publié le 29 avril, l’Anssi explique que le groupe de menaces a ciblé aussi bien des ministères, collectivités et autres administrations que des entités des secteurs de la défense, de l’aérospatial et de la finance. Certaines organisations de recherche et des think tanks ont également été visés. C’est aussi le cas d’une entité sportive, liée à l’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris.

    L’Anssi, ainsi que ses partenaires du C4, le Centre de coordination des crises cyber rassemblant le Comcyber, la DGA, la DGSE et la DGSI, ont enquêté sur le mode opératoire d’APT28 contre ces organisations nationales, mais aussi en Europe et en Amérique du Nord.

    Au début de la chaîne de compromission, les opérateurs d’APT 28 conduisent des campagnes d’hameçonnage, d’attaques par force brute notamment contre des messageries web et d’exploitation de vulnérabilités y compris 0-day telle que la CVE-2023-23397

    Cette faille de sécurité, qui concerne un protocole NTLM d’Outlook, a permis à des attaquants de voler des informations d’authentification sans intervention de l’utilisateur.

    Les VPN et pare-feu ciblés pour échapper aux mécanismes de détection

    Le C4 a également observé des campagnes de compromission d’équipements “situés en bordure de systèmes d’information”, tels que des VPN, des pare-feu et des routeurs, permettant aux cybercriminels de laisser peu de traces. Pour échapper aux mesures de détection, les pirates de Fancy Bear se sont en outre appuyés sur des “infrastructures infogérées à moindre coût et prêtes à l’emploi”. Il peut s’agir de serveurs loués, de services d’hébergement gratuit ou de création d’adresses e-mail temporaires, pour des missions de reconnaissance et d’exfiltration de données.

    Parmi les principales campagnes examinées, l’Anssi note que les hackers russes ont ciblé “à de nombreuses reprises” des serveurs de messagerie Roundcube, pour en exfiltrer le contenu et s’attaquer à de nouvelles victimes. En 2023, les cybercriminels ont mené deux principales attaques de phishing, l’une consistant à utiliser un lien vers un sous-domaine d’un service web gratuit délivrant des fichiers ZIP malveillants, et l’autre visant à rediriger des utilisateurs de la messagerie Yahoo ou Ukr.net vers de fausses pages de connexion.

    Le ministère des Affaires étrangères dénonce publiquement

    Le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères a ouvertement condamné “avec la plus grande fermeté” cette campagne de cyberattaques par le service du Kremlin. “Ces activités déstabilisatrices sont inacceptables et indignes d’un membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies" , écrit le Quai d’Orsay dans un communiqué. "Elles sont par ailleurs contraires aux normes des Nations unies en matière de comportement responsable des États dans le cyberespace, auxquelles la Russie a souscrit.” À noter qu’il s’agit de la première fois où la France désigne publiquement le renseignement militaire russe comme responsable de cyberattaques.

    Actif depuis 2004, le groupe de cybercriminels APT28 a déjà ciblé l’Hexagone par le passé. Le ministère souligne par ailleurs son implication dans la “tentative de déstabilisation du processus électoral français en 2017”, à savoir le piratage d’e-mails de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron, ainsi que dans des cyberattaques menées contre la chaîne TV5Monde en 2015. Le groupe avait également été accusé par les États-Unis d’avoir interféré dans l’élection présidentielle américaine de 2016 pour favoriser Donald Trump, et avait mené la même année des opérations d’accès rapproché lors des JO de Rio.

    – Source :

    https://www.usine-digitale.fr/article/en-quatre-ans-les-pirates-russes-de-fancy-bear-ont-vise-une-dizaine-d-entites-francaises-sensibles.N2231485

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    @Raccoon a dit dans Calculer l’impact écologique de vos livraisons : l’outil malin de l’ADEME :

    Amazon avec son abonnement Prime livraison rapide quelque soit le jour doit être un sacré vecteur de pollution.
    J’ai toujours été étonné par la proportion importante de personnes qui a souscrit à ce service alors qu’il suffit de patienter un ou deux jours de plus pour recevoir sa commande

    J’ai prit l’abonnement pour le service streaming et me suis rendu compte plus tard que l’offre livraison était comprise. 😉

    Pour ce qui concerne mon impact écologique niveau livraison, il est vraiment bas, me faisant livrer disons une fois par mois grand max.

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    @duJambon L’Abé Pierre? caramba encore raté!

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    Le procès antitrust que les autorités américaines intentent contre Google pourrait avoir des conséquences inattendues pour Firefox. En ligne de mire : l’accord financier qui fait de Google le moteur de recherche par défaut dans Firefox, une source essentielle de revenus pour la fondation Mozilla.

    Près de 85 % des revenus de Mozilla proviennent de ce partenariat. Si le démantèlement de Google ou une régulation plus stricte venait à annuler cet accord, cela priverait Firefox de la majorité de son financement, le mettant dans une situation critique. Mozilla se retrouverait alors à chercher de nouvelles sources de revenus ou à réduire fortement ses activités, menaçant l’existence du célèbre navigateur libre.

    Cette situation soulève un paradoxe : une tentative de réguler un géant du web pourrait, indirectement, affaiblir un acteur indépendant qui incarne l’alternative et le respect de la vie privée en ligne.

    – Plus d’informations ici :

    https://www.clubic.com/actualite-564138-le-demantelement-de-google-pourrait-il-tuer-firefox.html

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    @Popaul a dit dans Londres : un Aldi sans caisse où l’entrée coûte 10£ :

    ou ranger les chips et le papier cul dans les rayons

    Ben, il doit bien y avoir quelqu’un à faire ça vu la photo, ça n’a pas l’air d’être déjà automatisé.

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    @Aerya Je viens d’essayer, ça roule sur ce site 🙂

    Et même sur pas mal d’autres pourtant très locaux et de peu d’intérêt. Le script doit être diabolique pour fonctionner aussi bien sur une si grande variété de procédés.

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    Les titres de la firme d’Elon Musk ont beaucoup progressé depuis une dizaine de jours, malgré des ventes de voitures décevantes. Que se passe-t-il?

    C’est difficile à croire, vu d’Europe, où la popularité d’Elon Musk est au plus bas. Mais les actions de Tesla sont en pleine remontada. Alors que ce titre avait plongé à 221 dollars début avril, après des résultats trimestriels décevants, l’action a fait un bond en fin de mois.

    Après une dizaine de jours de hausse continue, le titre pointait à 287 dollars vendredi à la clôture. L’embellie est nette, même si c’est encore loin des 436 dollars de décembre 2024, peu après l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis.

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    Ce robot appelé Optimus est l’un des projets phares de Tesla, hors automobiles

    À cela s’ajoute l’impopularité d’Elon Musk, depuis son engagement en politique aux côtés du président Trump. Et aussi la concurrence de plus en plus pressante des voitures électriques chinoises, notamment de BYD.

    Pour la première fois en 21 ans d’histoire, les livraisons de voitures Tesla ont baissé en 2024, et cette tendance s’est confirmée au début 2025. Le résultat, ce sont des chiffres décevants. Pour le premier trimestre de l’année, Tesla a annoncé un bénéfice de 399 millions de dollars, en baisse de 65% par rapport à l’an dernier, et très inférieur aux 900 millions attendus par Wall Street.

    Nous n’avons rien compris à Tesla

    Et pourtant, l’action est repartie à la hausse. Comment expliquer ce retournement de situation? La lettre de Barron’s, très lue dans la communauté financière, assure que nous n’avons rien compris à Tesla. Selon cette source américaine, «les robots sont plus importants que les droits de douane».

    Les machines qui seraient décisives pour l’avenir de la firme américaine sont notamment le concept Cybercab, ou Robotaxi, cette voiture pilotée par une intelligence artificielle, qui devrait rouler au Texas dans les mois qui viennent. Et aussi les robots humanoïdes Optimus qui sont en préparation chez Tesla.

    L’invasion des robots humanoïdes

    Pour Adam Jonas, analyste chez Morgan Stanley, «il y aura un milliard de robots humanoïdes en activité vers 2050. La taille de ce marché sera de 5000 milliards de dollars par année, soit deux fois la taille du marché actuel de l’automobile.» L’analyste estime encore que la Chine sera l’un des leaders dans ce domaine, mais que Tesla sera également un «Big player».

    Joseph Spak, analyste chez UBS, partage cet avis. «Le marché ne considère plus Tesla comme un constructeur automobile, mais plutôt comme une entreprise d’intelligence artificielle.»

    Mieux que le téléphone portable?

    Évidemment, Elon Musk n’est pas en reste, quand il s’agit de livrer des pronostics ultraoptimistes sur l’une de ses activités. «Tesla est sans doute la plus grande entreprise de robotique au monde. Parce que nos voitures sont des robots semi-sensibles sur routes.»

    Selon le PDG aux multiples casquettes, qui a récemment mis en scène son côté hyperactif à la Maison-Blanche, «la seule entreprise qui possède tous les atouts pour fabriquer des robots humanoïdes intelligents à grande échelle sera Tesla. Je pense qu’Optimus (ndlr: son robot qui ressemble à une version grise de C3P0 dans Star Wars) sera un hit 10 fois plus important que le plus gros produit jamais fabriqué.»

    Vu d’Europe, cela peut surprendre. Mais l’impopularité n’explique pas tout en économie. Surtout pas une hausse imprévue des actions.

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    Le Cybercab, ou Robotaxi, est un autre produit Tesla très attendu, qui doit relancer les ventes de voitures électriques

    Cette hausse pourrait-elle s’expliquer par un retrait d’Elon Musk du débat politique?

    C’est une hypothèse que certains évoquent. Elon Musk est une figure «controversée» : son implication dans certains débats politiques a parfois alimenté des tensions avec une partie des investisseurs ou du public. Un recentrage sur Tesla et la technologie pourrait donc être perçu comme positif. Mais en Bourse, les mouvements de cours sont rarement liés à une seule cause. Il est difficile de savoir si ce facteur a vraiment pesé dans la hausse récente. À noter que la nomination d’un nouveau PDG de Tesla a également été évoquée (notamment par le «Wall Street Journal») mais rapidement démentie par Elon Musk en personne.

    Un grand investisseur a écrit récemment: «Les robots sont plus importants que les droits de douane.» Qu’est-ce que cela signifie?

    C’est une manière de dire que l’avenir technologique de Tesla, notamment autour de la robotique, de l’automatisation et de l’intelligence artificielle, est jugé plus stratégique que les aléas conjoncturels comme les droits de douane. En clair: ce serait une vision long terme qui l’emporterait sur les turbulences court terme. Mais cette lecture optimiste ne fait pas l’unanimité: elle repose sur des paris technologiques ambitieux, qui ne sont pas encore tous concrétisés.

    Certains évoquent des signaux positifs sur le projet Robotaxi. Cela a pu influencer l’action?

    Le Robotaxi est l’un des projets les plus emblématiques – et les plus attendus – de Tesla. Il s’agirait de véhicules entièrement autonomes, capables de circuler sans conducteur. À chaque fois que des rumeurs circulent sur une avancée ou une annonce prochaine, cela peut attiser l’intérêt des investisseurs. Cela dit, même si le sujet fascine, il reste de nombreux défis techniques, réglementaires et commerciaux.

    Source: https://www.24heures.ch/bourse-les-robots-propulsent-laction-de-tesla-a-la-hausse-967339336937

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    Putain mais comment je vais me faire de la tune maintenant moi.
    J’avais trouvé un bon filon en filmant mes ieps mouhahaha

  • Un moniteur couleur E Ink à 1 900 $

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    L’écran a un joli design et de nombreux ports, mais l’encre électronique couleur présente bien évidemment des inconvénients.

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    L’encre électronique couleur actuelle nécessite de nombreux compromis, comme nous l’avons constaté lors de tests d’appareils comme le Paper Pro de reMarkable ou le Kindle Colorsoft d’Amazon , notamment des couleurs délavées, des taux de rafraîchissement faibles et un aspect granuleux que l’on ne retrouve pas avec l’encre électronique noir et blanc classique. Mais cela n’empêche pas les fabricants d’appareils d’explorer cette technologie, et aujourd’hui, Onyx International a annoncé la sortie d’un moniteur couleur à 1 900 $, connectable à votre PC ou Mac.

    Le Boox Mira Pro est un moniteur de 25,3 pouces avec une résolution de 3200 × 1800 et un format d’image 16:9. Il s’appuie sur les précédents moniteurs Mira Pro noir et blanc de la marque. The Verge rapporte que l’écran utilise la technologie E Ink Kaleido 3, capable d’afficher jusqu’à 4 096 couleurs. La qualité d’image et la fréquence de rafraîchissement varient selon le préréglage du moniteur (le site ne précise pas la fréquence de rafraîchissement exacte, mais précise que « la vitesse de rafraîchissement des moniteurs E Ink est inférieure à celle des moniteurs classiques, et une vitesse plus élevée entraînera davantage d’images fantômes »).

    Les ports du moniteur comprennent un port HDMI standard, un port mini HDMI, un port USB-C et un port DisplayPort. Son support par défaut rappelle légèrement celui du Studio Display d’Apple , mais il prend également en charge le montage VESA.

    La gamme d’appareils Boox d’Onyx International se concentre généralement sur les tablettes E Ink sous Android, que l’entreprise fabrique depuis plus de dix ans. Ces tablettes se distinguent principalement par la combinaison des avantages de l’E Ink (texte agréable à lire et longue durée de vie de la batterie) et de l’accès à plusieurs librairies et autres sources de contenu via Google Play, au lieu de vous enfermer dans l’écosystème d’un seul fabricant, comme le font les Kindle d’Amazon ou d’autres liseuses dédiées.

    Les écrans E-Ink ne sont pas des concepts totalement nouveaux, mais hormis le Mira Pro noir et blanc d’Onyx, le marché est relativement peu saturé. Dasung propose un écran couleur E-Ink de 25,3 pouces à 33 Hz pour environ 2 000 $ , et Acogedor propose quelques modèles noir et blanc plus petits ; il existe également des écrans E-Ink polyvalents conçus pour se connecter à un Raspberry Pi . Onyx Boox est probablement la marque la plus connue du secteur, et le Mira Pro présente un design bien plus attrayant que la version Dasung.

    Pour les acheteurs américains, veuillez noter que les conditions générales sur le site web d’Onyx Boox indiquent que « certains pays peuvent prélever des droits de douane sur les marchandises importées. Pour connaître le montant de ces droits, veuillez consulter le service des douanes local. » Ces moniteurs sont actuellement expédiés exclusivement depuis l’entrepôt de l’entreprise à Hong Kong, et l’administration Trump impose actuellement à Hong Kong les mêmes droits de douane qu’à la Chine continentale. Il semble donc qu’Onyx Boox ne les inclue pas dans le prix affiché de l’appareil. Les moniteurs peuvent bénéficier d’exemptions générales couvrant de nombreux smartphones et PC, mais la situation est fluctuante et évolue fréquemment.

    Source: https://arstechnica.com/gadgets/2025/04/e-ink-android-tablet-maker-onyx-boox-is-making-a-1900-color-e-ink-monitor/

    Avantage: une consommation d’énergie presque nulle, là ou ça peut-être important.

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    @duJambon pour moi ça sera brioche de compèt. :ahah: