On ne se moque pas de ces choses là.
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Tu sais faire le moonwalk ^^ ?
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@Psyckofox Sur le groin, à l’aise…
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@duJambon c’est chouette comme on s’identifie à nos avatars.
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@michmich Toutafé, mon général !
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Un couple se fait voler 350 000 euros de bijoux à bord d’un TGV
Une quarantaine de bijoux de luxe appartenant à un couple franco-canadien ont été volés dans un train de la SNCF, ce dimanche 27 juillet, rapporte BFMTV. Les deux voyageurs se trouvaient à bord d’un TGV reliant Aix-en-Provence à Paris. Bracelet Cartier, montre Rolex, rivière d’émeraudes ou encore des bagues serties de diamants… Le montant du butin est estimé à 350 000 euros.
La propriétaire des bijoux, Alexandra N, avait déposé, sous son siège en première classe, un sac Louis Vuitton qui contenait son écrin à bijoux. Cheffe d’entreprise de nationalité canadienne, elle revenait de sa maison secondaire à Aix-en-Provence pour rejoindre le Canada avec son conjoint.
Un homme et une femme se sont ensuite assis derrière le couple. Peu après le départ du train, “j’ai senti quelque chose me toucher la jambe. Je n’ai pas prêté attention, pensant qu’il s’agissait d’une bête”, relate la victime, dans sa plainte aux policiers, consultée par BFMTV. Le couple n’a pas immédiatement compris qu’il s’agissait d’un vol, les voleurs ayant aussitôt reposé le sac à ses pieds.
Le couple n’est pas garanti d’être assuré : “Aucune assurance ne nous couvre. Ce n’est pas un vol à l’arraché, il aurait fallu qu’on se fasse violenter”, déplore le compagnon, auprès de BFMTV. Ils ont déposé plainte à leur arrivée en gare de Lyon à Paris.
Si on peut même plus prendre le train avec un sac vuiton rempli pour 350 000 €, à qui se fier ?
Pas de chance, pour une fois que la SNCF n’était pas en grève.
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patricelg PW Addict DDL Rebelle Windowsien Ciné-Séries Club Membrea répondu à duJambon dernière édition par
Faut en tenir une sacré couche pour laisser un sac de cette valeur avec autant à l’intérieur. Même en 1ère classe, c’est la France, quand même…
A moins que ce soit une tentative d’escroquerie ? -
A la limite mieux vaut les transporter entourés de chiffons dans un sac de supermarché, ça attise moins la convoitise qu’un sac Vuitton.
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“Tout notre budget part dans cette histoire” : un refuge d’animaux, squatté par une octogénaire, au bord de la faillite
Près d’Évian, en Haute-Savoie, un refuge d’animaux domestiques se retrouve au bord de la faillite. En cause, une octogénaire, hébergé par gentillesse il y a cinq ans et qui, depuis, fait vivre un enfer à ceux qui y travaillent. La femme vivrait aux dépens du refuge et aurait même détourné de l’argent.
À Neuvecelle, près d’Évian, l’École du chat libre est au bord de l’asphyxie financière à cause d’une octogénaire hébergée il y a cinq ans par [censored] solidarité. Une histoire folle rapportée par Le Parisien.
Hébergée charitablement, elle devient (trop) envahissante
Patricia Dolciani, directrice du refuge, est au bord des larmes : “En 2020, cette dame a été expulsée de chez elle. Nous avions récupéré son chien et ses trois chats. On n’allait pas la laisser dehors, alors on l’a hébergée, temporairement”, déclare-t-elle à nos confrères. Mais depuis, la pensionnaire s’est transformée en squatteuse. Et le cauchemar a commencé.
Dans cette maison léguée à l’association, la retraitée occupe peu à peu tout l’espace. Jusqu’à changer les serrures pour s’y installer définitivement. Les bénévoles doivent alors s’adapter cette présence hostile, à des insultes à répétition, et à une gestion devenue infernale. Quinze d’entre eux ont jeté l’éponge et ont quitté le refuge.
Des frais hors norme
Les factures d’électricité ont été multipliées par deux (7 500 euros), la voiture de l’association empruntée pendant un an, 8 000 euros ont été dépensés pour entreposer ses affaires dans des box, sans compter l’argent qui a été détourné lorsque la vieille dame se faisait passer pour la responsable du refuge en l’absence de l’équipe.
"On marche sur la tête, souffle Patricia Dolciani au Parisien. Elle ouvre les fenêtres en plein hiver avec le chauffage à fond. Elle salit tout. Et pendant ce temps, nos chats, eux, en pâtissent." L’an dernier, l’association a pourtant réussi à placer 180 chatons et 50 chats adultes. Mais aujourd’hui, elle est à bout de souffle.
Une situation qui s’enlise depuis 5 ans
Malgré une décision du tribunal de Thonon en novembre 2024 ordonnant l’expulsion, rien n’a bougé. L’octogénaire, apparemment ressortissante suisse, serait bénéficiaire de l’AVS (l’équivalent de la retraite en Suisse). La préfecture demande un avis médical avant toute intervention. En attendant, la situation s’enlise.
"Si ça continue, l’École du chat va fermer, alerte la directrice. On n’a plus les moyens d’aider. Tout notre budget part dans cette histoire." Elle lance un appel à l’aide aux élus locaux pour faire bouger les lignes. La préfecture, comme la squatteuse, n’a pas donné suite aux sollicitations du Parisien. “C’est à se demander si tendre la main ne vous condamne pas”, conclut Patricia Dolciani, écœurée.
Source : midilibre.fr
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@Raccoon Mais foutez moi ça dehors, ils auraient du profiter du covid qui aurait pu aider sur ce coup là!
Expulsez la, la Suisse, elle, reprend ses ressortissants.
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Raccoon Admin Seeder I.T Guy Windowsien Apple User Gamer GNU-Linux User Teama répondu à michmich dernière édition par
@michmich a dit dans On ne se moque pas de ces choses là. :
ils auraient du profiter du covid
Il suffirait que chacun qui passe à côté d’elle lui crache dessus, elle finira bien par chopper une saloperie qui la mènera dans la tombe.
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@Raccoon je voyais un truc moins… médiéval, genre dans son thé du matin.
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Le séjour tourne au cauchemar: le propriétaire d’un Airbnb utilise l’IA pour créer des faux dégâts et faire payer une fortune à une étudiante
Une étudiante londonienne pensait avoir trouvé un endroit paisible pour étudier à New York grâce à Airbnb. Mais son séjour s’est terminé en cauchemar kafkaïen: une demande d’indemnisation de 14.000 €, des accusations de matelas souillé, de table fissurée et d’appareils électroménagers cassés, tout cela au travers de preuves qu’elle prétend avoir été fabriquées de toute pièce par l’intelligence artificielle. Airbnb a d’abord cru l’hôte, jusqu’à ce que la femme elle-même donne son témoignage. S’en est suivi un combat pour obtenir justice.
Plus tôt cette année, cette femme avait loué un appartement à Manhattan pour ses études. Elle devait y rester deux mois et demi, mais était partie prématurément, car elle ne se sentait pas en sécurité dans le quartier. Peu après son départ, le propriétaire a affirmé, via Airbnb, qu’elle avait causé plus de 12 000 £ (plus de 14 000 euros) de dégâts. Parmi ceux-ci figuraient une table basse fissurée, un matelas taché d’urine et divers appareils électroménagers cassés, allant d’un aspirateur à un climatiseur.
L’hôte a présenté plusieurs photos comme preuve. La femme a nié toutes les allégations et a déclaré avoir laissé l’appartement en bon état. Elle a également immédiatement remarqué une anomalie sur les photos de la table en bois.
Preuves manipulées numériquement
Elle soupçonnait que les images avaient été manipulées numériquement, peut-être même générées par l’IA. Elle affirmait que le propriétaire cherchait à se venger de son départ prématuré.
Airbnb a d’abord rejeté sa plainte et lui a indiqué qu’après avoir examiné attentivement les photos, elle devait rembourser 5.314 £ (6 085 euros) à l’hôte. Lorsqu’elle a fait appel, elle a déclaré qu’un témoin pouvait attester sous serment qu’elle avait laissé l’appartement propre et rangé. Elle a également démontré les incohérences visuelles évidentes des images, suggérant une contrefaçon.
“Cela aurait dû immédiatement éveiller les soupçons. Au lieu de cela, Airbnb a complètement ignoré mes explications et n’a pas examiné de manière critique les preuves présentées”, a-t-elle déclaré au journal britannique The Guardian.
Ce n’est qu’après que le journal s’est emparé de l’affaire qu’Airbnb a cédé. La femme a d’abord reçu un remboursement de 500 £ (573 euros). Lorsqu’elle a déclaré ne plus vouloir réserver sur Airbnb, on lui a proposé un remboursement de 854 £ (978 euros), soit un cinquième du montant total de la réservation. Elle a tenu bon et a finalement obtenu le remboursement intégral de 4 269 £ (4 889 euros). Un avis négatif que l’hôte avait laissé sur son profil a également été supprimé.
Avertissement
L’hôte a reçu un avertissement d’Airbnb. S’il enfreint à nouveau les règles, son compte sera supprimé.
“Ma plus grande inquiétude est que d’autres locataires, sans le temps, les connaissances ou le soutien nécessaires, paient simplement par crainte de poursuites judiciaires”, a déclaré la femme. “Tant qu’Airbnb acceptera les images d’IA comme preuves sans examen approfondi, ce sera une invitation ouverte à la fraude.”
Airbnb promet de faire mieux: l’entreprise lance une enquête interne sur la gestion de l’affaire. “Nous prenons les demandes d’indemnisation au sérieux”, précise le communiqué. “Notre équipe examine tous les éléments de preuve afin de rendre une décision équitable. De plus, chaque décision est susceptible d’appel.”
Il reste à voir si cela sera suffisant à l’ère de l’IA.
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Bwaaaahhhhh !!! Tortionnaires !!! Vlad au féminin !!!
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Y’a pas que les anguilles
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Mais depuis, l’hypocrisie ne fait que croitre dans la presse, la TV et les réseaux.
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Bien fait pour ta gueule pauvre con!
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Non mais quelle ordure