Le monde est fou (vers l'infini et au delà)
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@Raccoon a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
vu la fulgurance de l’avocat d’un des tortionnaires il se peut qu’il prenne plus que des TIG, le mec est aussi crétin que ses clients.
Bonne remarque, si j’avais pu lui choisir moi même un avocat, j’aurais sûrement pris celui là.
Lapsus intéressant à 11 ème minute “nous”.
Nous attendons sereinement le rapport d’autopsie!
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Ce steamer maso a la fin qu’il méritait. Gros dérangement psychiatrique.
Quand je regarde sa gueule, il me fait penser à Francis Heaulme. Vu sa maigreur au faciès rétracté, il aurait succombé à un cancer prochainement. Un type dérangé des boyaux de la tête dont je ne comprends pas pourquoi il avait autant de followers lubriques.
Un type qui a rejoint les poubelles de l’histoire. Next…
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@Aurel pour ses bourreaux, tu as un bon mot aussi?
J’apprécie la nage à contre courant, mais là c’est un peu too much, non?
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Ses bourreaux complices sont également de grands perturbés sados.
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@Aurel t’es en colère là tout de suite ???
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@Aurel a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Ses bourreaux complices sont également de grands perturbés sados.
Si on dresse pas cette genération d’attardés, ça va devenir la norme.
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@Mister158 a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
@Aurel t’es en colère là tout de suite ???
Exposer une opinion serait une manifestation de colère ? Je suis toujours zen. Je suis surpris par ta question…
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@Aurel ben deux coups de kalashnikov en 5 mn lol
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?? Lol aussi, mais bon.
Edit : Ah si, je viens comprendre. Pour toi s’exprimer reviendrait à balancer des tirs d’arme à feu comme dans les jeux vidéos ?
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@michmich a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
@Aurel a dit dans Le monde est fou (vers l'infini et au delà) :
Ses bourreaux complices sont également de grands perturbés sados.
Si on dresse pas cette genération d’attardés, ça va devenir la norme.
Excuse-moi, mais j"ai toujours été incompatible avec le verbe “dresser” 'comme un animal de cirque et encore moins les “normes”. D’abord, la discussion rend moins attardé, même si elle prend du temps et beaucoup de patience.
o/
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« J’aimerais tellement revoir tes seins » : un homme tire une flèche portant un message sexuel dans la chambre d’une fillette
Sur le message tiré avec un arc par une fenêtre ouverte, ce trentenaire avait proposé à la fillette de faire connaissance après avoir vu « ses petits seins parfaits ». Il a été condamné à dix mois de prison ferme à Périgueux (Dordogne).
Des faits qui font froid dans le dos. Un homme d’une trentaine d’années a été condamné mardi en comparution immédiate à dix mois de prison ferme à Périgueux (Dordogne) pour « outrage sexiste à mineur de 15 ans », indique ce mercredi au Parisien le parquet de la ville, confirmant une information d’Ici (ex-France Bleu) Périgueux.
D’après le parquet, « cet homme habitait la maison en face de l’immeuble où résidait la victime », une jeune fille âgée de 12 ans. « Il a tiré une flèche par la fenêtre ouverte de la chambre de cette dernière avec un mot accroché l’invitant à faire connaissance après avoir vu : ses petits seins parfaits ». « J’en rêve maintenant. J’ai même fait l’amour à ma copine toute la nuit comme une bête tellement tes seins mon exciter (sic). J’aimerais tellement juste les revoir », était-il également écrit.
« Je vous jure que c’est pas moi »
D’après Ici Périgueux, les faits ont eu lieu le 13 août vers 22 heures, alors que la fillette était dans sa chambre avec ses cousines. Ces derniers ont indiqué aux enquêteurs avoir déjà vu à plusieurs reprises l’homme condamné en bas de leur immeuble. Celui-ci, connu de la justice pour des délits routiers et de la consommation et de la détention de drogue, avait aussi laissé ses initiales sur le mot envoyé, précise la radio locale.
Au cours d’une perquisition chez lui, les enquêteurs retrouvent un arc avec des flèches identiques à celle retrouvée dans la chambre de la fillette. Il a reconnu être le propriétaire de l’arc, mais a nié avoir tiré. « Je vous jure que ce n’est pas moi », a-t-il lancé lors de l’audience. Sauf que, toujours d’après Ici Périgueux, personne n’y a cru : sa mère avait même avoué à la police avoir reconnu son écriture.
Source : leparisien.fr