Trump Make America Great Again, again
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Nouveau coup de folie de l’administration Trump : les Français devraient fournir l’historique de leurs réseaux sociaux pour aller aux États-Unis
Les États-Unis envisagent d’imposer aux touristes exemptés de visa, dont les Français, la transmission de cinq ans d’historique de réseaux sociaux. Une mesure qui inquiète un secteur touristique américain déjà en repli.
L’administration Trump a proposé ce mercredi 10 décembre, dans un avis publié au Federal Register, d’imposer aux visiteurs étrangers bénéficiant du programme d’exemption de visa la fourniture de cinq années d’historique de leurs réseaux sociaux. Une obligation nouvelle pour les ressortissants de 42 pays, dont la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni ou le Japon, qui doivent obtenir une autorisation électronique de voyage (ESTA) pour entrer aux États-Unis.
Le texte, qui ajoute aussi les numéros de téléphone utilisés sur cinq ans, les adresses mails des dix dernières années ainsi que des informations détaillées sur les membres de la famille, doit entrer en vigueur d’ici 60 jours sauf contestation judiciaire. Selon les autorités douanières américaines (CBP), ces données deviendraient un “élément obligatoire” d’une demande d’ESTA. Une évolution notable alors que ce type de vérification était jusqu’ici réservé aux demandes de visa classiques.
Visitez le Liechtenstein !

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la fourniture de cinq années d’historique de leurs réseaux sociaux
je n’ai pas du tout envie de me créer un compte facebook, et encore moins de visiter l’amérique…
comme si les terroristes allaient écrire leurs projets sur leur compte facebook… non mais je te jure !

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Opération sabotage: un document secret révèle que Trump veut “arracher” quatre pays à l’UE
La Stratégie de sécurité nationale (NSS) officielle des États-Unis avait déjà fait trembler l’Europe la semaine dernière, mais le véritable danger se cacherait peut-être dans ce qui n’a pas été publié. Selon des informations ayant fuité, la Maison-Blanche suivrait un agenda parallèle dont l’objectif assumé serait d’affaiblir l’Union européenne de l’intérieur en encourageant quatre États membres cruciaux à prendre leurs distances.
Avec la publication de sa nouvelle NSS, le gouvernement américain avait envoyé un avertissement sans précédent à l’autre côté de l’Atlantique. Alors que des rivaux comme la Chine et la Russie pouvaient compter sur une certaine nuance stratégique, l’allié européen, lui, a essuyé de vives critiques: économies fragiles, politique migratoire désastreuse, statut douteux en tant que partenaire militaire. La conclusion de la Maison-Blanche: il faut encourager la “résistance” contre l’UE.
Mais selon le site américain de défense Defense One, la version publique ne serait que la partie émergée de l’iceberg. Une version confidentielle, beaucoup plus détaillée, circulerait et s’apparenterait à un véritable manuel de sabotage diplomatique.
La stratégie du “désarrimage”
Cette version non censurée du document met l’accent sur la nuance entre les institutions européennes et les pays qui les composent. Les États-Unis ne veulent plus concentrer leur influence diplomatique à Bruxelles, mais se focaliser sur “un nombre limité de pays ayant des gouvernements partageant la même vision”.
Avec, à la clef, une liste de quatre pays cités comme des partenaires idéaux pour une coopération renforcée: l’Autriche, la Hongrie, l’Italie et la Pologne. Des pays qu’il faudrait “désarrimer” de l’Union européenne, selon le mémorandum américain.
La Maison-Blanche dément catégoriquement l’existence de ce mémorandum interne et de toute stratégie secrète. La porte-parole adjointe Anna Kelly a qualifié ces informations de “fake news” et assuré qu’il n’existe qu’une seule version de la stratégie, “celle que le président a signée”.
Reste à savoir si les États membres prendront ces révélations comme un appel à résister à la tentation de privilégier leurs intérêts nationaux au détriment du collectif, ou bien si la stratégie de fragmentation de Trump se retrouve déjà face à un terrain fort favorable.
Source et beaucoup plus: https://www.7sur7.be/monde/une-operation-de-sabotage-un-document-secret-revele-que-trump-veut-arracher-quatre-pays-a-lue~a28e3d21/
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Dans sa guerre contre l’inclusivité, Trump abandonne la police de caractères Calibri
L’administration Biden avait fait de Calibri la police de caractères officielle du gouvernement étatsunien pour des raisons de lisibilité et d’inclusivité. Opposé à toute mesure en ce sens, l’actuel secrétaire d’État, Marco Rubio, remet en place le Times New Roman.
Marco Rubio, le secrétaire d’État américain, a ordonné aux diplomates de son pays de ne plus utiliser la police de caractère Calibri et de repasser au Times New Roman.
Selon le New York Times, le mémo envoyé par le responsable des Affaires étrangères du pays indique : « Retour à la tradition : police Times New Roman 14 points obligatoire pour tous les documents du département ».
Annulation d’une décision de l’administration Biden pour plus d’inclusivitéIl annule, de fait, une décision prise sous Joe Biden qui avait changé la police de caractère officiellement utilisée par la diplomatie étatsunienne en 2023 pour Calibri, une police sans empattement (serif en anglais).
Créée par Microsoft en 2004, elle avait été jugée plus accessible pour les lecteurs en situation de handicap, notamment les personnes malvoyantes ou dyslexiques, par l’administration fédérale précédente. Comme l’écrivait TechCrunch à l’époque, Microsoft avait pris cette décision de remplacer le Times New Roman par Calibri dès 2007 pour sa police par défaut.
Marco Rubio a affirmé, selon le New York Times, que ce changement « ne figurait pas parmi les cas les plus illégaux, immoraux, radicaux ou inutiles » des politiques de diversité, équité, inclusion et accessibilité de son pays. Mais, selon lui, ce changement de police de caractères était un échec car les « cas de correction de documents pour des raisons d’accessibilité » n’ont pas diminué. Et il estime que « le passage à Calibri n’a rien apporté d’autre que la dégradation de la correspondance officielle du département ».
Suite de l’article : next.ink
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Psyckofox DDL Geek Rebelle Ciné-Séries Club Gamer PW Addicta répondu à duJambon dernière édition par
@duJambon a dit dans Trump Make America Great Again, again :
Et il oublie de se souvenir que ce sont les migrants qui ont fondé les états-unis et surement pas que des oies blanches.
Effectivement, des clodos de son genre auparavant qui ont carrément pillés et volés la terre des amérindiens.
Ce pays est né par le pillage et le sang. -
Un article un peu plus fouillé que le précédent…
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C’est énorme !
Je guette le moment où la baudruche hypergonflée va exploser. -
@patricelg Stormy Daniels valide-t-elle cette information?

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Le dernier caprice de l’Imperator Donaldus Idiotus Megalomanem.
Après sa salle de bal en cours de travaux à la White House, il a comme projet d’ériger un Arc de Triomphe MONUMENTAL à Washington !
Après Paris en 2017 lors de son invitation le 14 juillet qui l’avait tant épatée, il a reproduit une parodie de parade militaire guignolesque le jour de son 79e anniversaire.
Mais désormais il envisage d’« écraser » de ses gros sabots avec un Arc de Triomphe, EN PLUS GRAND, TOUT Á SA GLOIRE ! Pour exhiber qu’il a le plus gros pénis de bâtisseur conquérant ?
Son complexe du petit zizi dépourvu de culture comme tout marchand-financier avide vient du fait que les U.S. ont une histoire temporelle relativement récente comparée à celle de notre vieux continent, même si Napoléon n’était pas un modèle à imiter avec son obsession de conquêtes territoriales sanglantes à la Poutine et
(point Godwin atteint).
Pauvre Melania, même si elle fait mine de paraître aux côtés de son bouffon de mari, c’est qu’elle y spécule des intérêts $ à court terme sur sa dépouille. Donald est sa rente viagère. -
@Aurel Chuck Norris s’incline tout les matins face à Napoléon après avoir mangé ses dix Trump au petit déjeuner.

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Rézos: Les États-Unis menacent à nouveau l’Europe de représailles
Les États-Unis ont menacé mardi l’Union européenne (UE) et ses pays membres de représailles s’ils ne revenaient pas sur leur régulation “discriminatoire” du secteur numérique qui vise selon Washington à “restreindre, limiter et décourager” l’activité des entreprises américaines.
“L’Union européenne et certains États membres ont persisté dans leur approche discriminatoire et (leur) harcèlement avec des procès, impôts, amendes et directives visant les fournisseurs américains de services”, a estimé le représentant de la Maison-Blanche pour le Commerce (USTR), dans un message sur X. “S’ils persistent”, ajoute-t-il, “les États-Unis n’auront d’autre choix que d’utiliser tous les outils à disposition pour contrer ces mesures déraisonnables”.
LE MEILLEUR RESTE À VENIR!
Donald Trump a également annoncé qu’il allait s’adresser à la nation mercredi lors d’une allocution télévisée, ajoutant dans un message sur son réseau Truth Social que l’année écoulée avait été “excellente” depuis son retour au pouvoir en janvier. “Mes concitoyens américains: je ferai une adresse à la nation demain soir, en direct de la Maison-Blanche, à 21h”, a-t-il écrit mardi, ajoutant: “Ce fut une excellente année pour notre pays, et LE MEILLEUR RESTE À VENIR!”.

Source: https://www.7sur7.be/economie/les-etats-unis-menacent-a-nouveau-leurope-de-represailles~ad78ff034/
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Trump sera encore plus dangereux en 2026
Un an comme un siècle. Aucun jour de répit. Douze mois étouffants, harassants, souvent ahurissants, rythmés par les sautes d’humeur d’un président qui a choisi de piétiner sa population pour mieux voir le monde avant de le bouleverser. Un terrain de jeu à la hauteur de son égo, quotidiennement piqué au vif, mais encore loin de s’avouer vaincu.
De la Chine à l’Union européenne, de l’Ukraine au Moyen-Orient et jusqu’à la Suisse, Donald Trump s’est donné pour ambition de sculpter la Terre à son image, de la soumettre à ses désirs les plus fous, tutoyant l’ingérence à chacun de ses coups de lame dans la diplomatie.
Un président qui ne s’est finalement soucié des frontières que lorsqu’elles permettent de juguler par la force l’immigration au départ des «pays de merde». Un président qui pensait que distribuer des taxes douanières comme des gifles allait forcément séduire ses électeurs. Un président persuadé que le culte voué à sa personnalité jusqu’en novembre 2024 suffirait à assoupir les Américains.
Lucide sous l’épaisse couche de folie, la tornade de 79 ans savait très bien qu’elle ne disposerait que d’une seule petite année pour savourer sa victoire, saccager l’ordre établi, taper du pied, engranger du pouvoir, semer le chaos, avant que son influence ne se mette à décroître. Certes, le clan MAGA se crêpe le chignon et l’économie américaine boitille, mais le pire est à venir: Donald Trump réalise à quel point son aura est en grand danger.
Mais si le président des Etats-Unis est bel et bien en difficulté, Donald Trump ne va doucement courber l’échine jusqu’en 2028. Avec cette influence qui chancelle aux yeux du monde, ses réflexes narcissiques risquent de le rendre encore plus agressif qu’il ne l’est aujourd’hui.
Une situation fragile qui pourrait faire basculer Trump dans une surenchère de violence politique et administrative, surtout si les midterms venaient à échapper au camp républicain l’an prochain. Un Trump plus dangereux en 2026? Rappelons tout de même que l’assaut du Capitole, dont il rêve de gracier la totalité des protagonistes, hante encore l’esprit de beaucoup de citoyens américains.
«Il a échoué dans tout. Il a fait faillite six fois. La seule chose qu’il n’a pas ratée, c’est de convaincre les gens qu’il n’est pas un raté»
Source et plus: https://www.watson.ch/fr/international/commentaire/950633995-donald-trump-sera-encore-plus-dangereux-en-2026
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Donald Trump : les confidences explosives de Susie Wiles, sa directrice de cabinet
Dans un portrait paru dans la presse américaine, la conseillère politique de Donald Trump donne sa vision parfois peu amène de la garde rapprochée du chef d’État américain.

Elle fait partie du classement Forbes 2025 des femmes les plus puissantes. Située à un poste clé de l’administration Trump, Susie Wiles, la directrice du cabinet du président américain, est d’ordinaire plutôt discrète. Mais c’est peu dire que ses propos rapportés par Vanity Fair font l’effet d’une bombe.
Il faut dire que celle qui est décrite comme la seule force capable d’orienter ou de canaliser Donald Trump n’y est pas allée de main morte dans ses confidences. À propos du locataire de la Maison-Blanche, elle assure sans détour qu’il « a une personnalité d’alcoolique » – elle-même est fille d’un homme alcoolique. Il « fonctionne avec la conviction que rien ne lui est impossible. Absolument rien ». « Les alcooliques fonctionnels, ou les alcooliques en général, ont une personnalité exacerbée lorsqu’ils boivent », a-t-elle ajouté. « Je suis donc un peu experte en personnalités exubérantes. »
[…]
Suite de l’article : lepoint.fr
Le portrait qu’elle dresse de Trump n’est pas très sympa pour les alcooliques.

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Psyckofox DDL Geek Rebelle Ciné-Séries Club Gamer PW Addicta répondu à Raccoon dernière édition par Psyckofox
Ha pris de court

Depuis Mardi ça fait grand bruit
Si même son bras droit nous sort des dossiers sur le mégalo no brain, c’est qu’il y’en a certains qui n’en peuvent plus d’être sous sa coupe.@Raccoon a dit dans Trump Make America Great Again, again :
Le portrait qu’elle dresse de Trump n’est pas très sympa pour les alcooliques.
Effectivement surtout qu’il y’en a un bon paquet ici…
(Je rigole bien sûr, c’est juste pour taquiner
)

