Trump Make America Great Again, again
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Il n’a pas eu le prix nobel de la paix, alors tous les moyens sont bons pour se faire reluire

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Boycottez cette coupe du monde les gars

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Psyckofox DDL Geek Rebelle Ciné-Séries Club Gamer PW Addicta répondu à patricelg dernière édition par Psyckofox
Je la boycotte en matant la coupe sur IPTV (ces bâtards ne touchent pas un centime depuis des années avec moi, aucun chiffre, aucun bénef, un vrai fantôme
).
Mais même si je la mate, je suis tout a fait ok avec toi Patrice -
Infantino, c’est bien lui qui a précipité la chute de Platini et Blatter dans les instances du foot mondial ?
Ces deux là définitivement blanchis en aout dernier en passant.
Non, c’est une question réthorique, c’est bien cet enc… Egal à lui même.@patricelg @Psyckofox Je boycotte avec vous, un peu plus comme Psycho quand même.
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@patricelg La quoi? De qui? Où ça?
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Les États-Unis considèrent que l’Europe va voir sa civilisation “disparaître” (à moins de suivre Trump)
Les États-Unis considèrent l’Europe comme un continent en déclin, ressort-il d’un document publié aujourd’hui par la Maison-Blanche. Dans le détail, ce document, qui reprend presque mot pour mot le vocabulaire de la Russie, appelle à “cultiver la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe” en soutenant des mouvements favorables au trumpisme. Fait marquant: alors que les alliés traditionnels des États-Unis sont vilipendés, Moscou n’est pas critiquée.
Le document rendu public ce vendredi par la Maison-Blanche ne mâche pas ses mots. À en croire ce rapport de 33 pages signé par Trump et exposant la politique étrangère américaine, l’Europe serait en difficulté économique à cause d’une réglementation étouffante, saperait sa propre démocratie, restreindrait la liberté d’expression, bloquerait une paix potentielle en Ukraine et ferait ainsi face à une “érosion civilisationnelle” due à une forte immigration et à un taux de natalité en chute libre. Autant de griefs qui semblent directement hérités des thèses de l’extrême droite, analyse le quotidien espagnol ‘El País’.
“Si les tendances actuelles se maintiennent, le continent sera méconnaissable d’ici 20 ans, voire moins”, indique le rapport. Parallèlement, il s’interroge sur la capacité de certains pays européens à “être suffisamment forts économiquement et militairement pour demeurer des alliés fiables”.
Selon Washington, l’Europe doit donc changer de cap, en prenant le parti du trumpisme. Pour ce faire, ils souhaitent “cultiver la résistance à la trajectoire actuelle de l’Europe”. En ce sens, la Maison-Blanche considère la montée des partis européens d’extrême droite et eurosceptiques comme “un motif de grand optimisme”.
L’objectif ultime, selon le document, est de mettre rapidement fin à la guerre en Ukraine, de stabiliser les économies européennes, d’empêcher une escalade des hostilités avec la Russie et de rétablir la stabilité stratégique avec ce pays, confirmant ainsi la volonté de la Maison-Blanche de se rapprocher du régime de Vladimir Poutine. Par ailleurs, Washington souhaite ouvrir les marchés européens aux biens et services américains et lutter contre l’impression d’une expansion constante de l’OTAN ressentie par la Russie.
Quand Washington copie les dires de Moscou
Ces différentes formulations semblent directement tirées de plusieurs documents écrits par la Russie. Elles étaient par exemple présentes dans la version initiale du plan de Trump pour l’Ukraine, qui comptait à l’origine 28 points. Selon les dernières révélations faites par les médias anglo-saxons, il apparaît de plus en plus clairement que celui-ci a été élaboré par la Russie en coopération avec les États-Unis, notamment avec l’émissaire de Trump Steve Witkoff.
Les services de renseignements européens avaient déjà souligné que le plan de paix de l’administration Trump ne tenait pas compte de l’Europe et était uniquement motivé par des considérations financières. La Maison-Blanche viserait en réalité à élaborer secrètement des projets commerciaux et économiques avec la Russie qui seraient rendus possibles avec la fin de la guerre en Ukraine.
J.D. VanceLa rhétorique du nouveau document rappelle aussi le discours du vice-président américain J.D. Vance lors de la Conférence de Munich sur la sécurité en février de cette année. Il avait alors surpris les dirigeants européens par son ton résolument hostile vis-à-vis de l’Europe. Le président de la conférence a fondu en larmes, qualifiant la réunion de “cauchemar”.
En mars, une conversation a ensuite fuité dans la presse. J.D. Vance s’y entretenait avec 18 responsables américains, dont Steve Witkoff, le secrétaire d’État Marco Rubio et le secrétaire à la Défense Pete Hegseth. Le vice-président américain y affirmait qu’il “détestait devoir soutenir l’Europe”.
Bon, a priori, il reste moins de temps à Trump qu’à l’europe pour disparaître, mais qui sait ?

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Que diraient Albert Einstein, Oscar Wilde ou Georges Bernard Shaw de nos jours ?
Quand on pense à cette citation apocryphe:" Les Etats-Unis d’Amérique forment un pays qui est passé directement de la barbarie à la décadence sans jamais avoir connu la civilisation. "
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Toujours aussi classe et distingué, le président étasunien assume et pousse encore plus loin sa rhétorique anti-immigration aux accents xénophobes.
«Déchets» venus de «pays de merde»: Trump s’en prend aux migrants

Plus aucun filtre
Revenu au pouvoir, il a lancé une vaste et brutale campagne d’expulsions. Son gouvernement a aussi suspendu les demandes d’immigration pour les ressortissants de 19 pays parmi les plus pauvres de la planète.
Dans le même temps, le président américain a ordonné d’accueillir les fermiers sud-africains blancs, selon lui persécutés.
«Il n’a plus aucun filtre», constate pour l’AFP Terri Givens, professeure à l’université canadienne de Colombie-Britannique, spécialiste des politiques d’immigration.
«Peu importe qu’un immigré respecte la loi, possède une entreprise, ou vive ici depuis des décennies, il est pris dans la bataille de Trump contre un ennemi imaginaire», juge Mark Brockway, professeur de sciences politiques à la Syracuse University, interrogé par l’AFP.
En décrivant les immigrés comme des «sangsues», selon le terme employé par la ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem, la Maison Blanche désigne une cible à l’heure où les Américains s’inquiètent du coût de la vie.
Mais selon Carl Bon Tempo, «quand l’immigration s’impose comme un sujet, c’est parfois à cause de l’économie, mais aussi à cause de questions plus fondamentales autour de ce que cela signifie d’être Américain.»
“Immigration inversée” Le retour de la colonisation ?
Le 28 novembre, après une attaque meurtrière menée par un ressortissant afghan contre deux militaires de la Garde nationale à Washington, Donald Trump a prôné sur son réseau Truth Social «l’immigration inversée» ou «remigration».
Cette notion, développée par des théoriciens européens d’extrême droite comme le Français Renaud Camus, désigne le renvoi massif d’étrangers.
Elle accompagne la thèse complotiste du «grand remplacement», selon laquelle une élite mondialisée s’activerait de manière occulte pour que les populations immigrées non-caucasiennes s’imposent démographiquement et culturellement en Europe.
De nombreux experts ont aussi relevé dans les idées de Donald Trump et de son entourage des échos du courant «nativiste» des années 1920 aux Etats-Unis, selon lequel l’identité américaine serait avant tout blanche, anglo-saxonne et protestante.
Cela avait débouché à l’époque sur une politique d’immigration favorisant les populations d’Europe du nord et d’Europe de l’ouest.
L’influent conseiller de la Maison Blanche Stephen Miller a récemment écrit sur X : «C’est le grand mensonge de l’immigration de masse (…). A grande échelle, les migrants et leurs descendants recréent les conditions et les horreurs de leurs pays d’origine dysfonctionnels.»
Source et plus: https://www.lematin.ch/story/etats-unis-dechets-venus-de-pays-de-merde-trump-s-en-prend-aux-migrants-103467861
Chaque fois qu’on croit qu’il touche le fond, il creuse encore…
Et il oublie de se souvenir que ce sont les migrants qui ont fondé les états-unis et surement pas que des oies blanches.

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Nouveau coup de folie de l’administration Trump : les Français devraient fournir l’historique de leurs réseaux sociaux pour aller aux États-Unis
Les États-Unis envisagent d’imposer aux touristes exemptés de visa, dont les Français, la transmission de cinq ans d’historique de réseaux sociaux. Une mesure qui inquiète un secteur touristique américain déjà en repli.
L’administration Trump a proposé ce mercredi 10 décembre, dans un avis publié au Federal Register, d’imposer aux visiteurs étrangers bénéficiant du programme d’exemption de visa la fourniture de cinq années d’historique de leurs réseaux sociaux. Une obligation nouvelle pour les ressortissants de 42 pays, dont la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni ou le Japon, qui doivent obtenir une autorisation électronique de voyage (ESTA) pour entrer aux États-Unis.
Le texte, qui ajoute aussi les numéros de téléphone utilisés sur cinq ans, les adresses mails des dix dernières années ainsi que des informations détaillées sur les membres de la famille, doit entrer en vigueur d’ici 60 jours sauf contestation judiciaire. Selon les autorités douanières américaines (CBP), ces données deviendraient un “élément obligatoire” d’une demande d’ESTA. Une évolution notable alors que ce type de vérification était jusqu’ici réservé aux demandes de visa classiques.
Visitez le Liechtenstein !
